Elvis Noé Turel Clairement louche Maison de la Lune et du Sang Âme ?
La lumière tombe et un mouvement de panique semble se propager dans la salle des enchères, à commencer par le fond. Malheureusement dans le noir et dans l’étonnement général de la panne de courant, les convives ne perçoivent pas grand chose. Même les Animas pouvant voir dans la pénombre ne distinguent rien d’anormal, tellement tout s’est passé vite et discrètement et que l’épicentre de l'action se trouve vers Micheletto, Désiré et Maxine. Vos agresseurs ont agi vite, profitant du brouhaha général sur la panne de courant pour vous mettre la lame sous la gorge. Vous avez chacun des réflexes différents.
Désiré, tu es le premier à réagir en éteignant ton cigare sur la main de ton agresseur. Il émet un râle de douleur et tente de te donner un coup de couteau pour se venger mais tu l'esquives en en profitant pour te retourner. Tu aperçois Elvis Noé Turel devant toi grâce à ta vision nocturne, tout sourire. Il ne fait pas partie des trois personnes vous ayant prit en joug et il a les mains totalement libres, prêt à se battre avec toi. Mais il n’en a pas besoin. Et te fait juste signe de te retourner. Tu reçois alors un violent choc sur le crâne et tu t'effondres instantanément sur ton siège, tombant dans les pommes. Dommage pour toi, mais des ennemis, il n’y en avait pas que dans la rangée de derrière. Mais aussi celle de devant. C’est désormais le black out.
“Putain, boss, le peintre vient de se transformer en rat, j’sais pas où il est !”
Visiblement, un des larbins d’Elvis Noé Turel vient de te perdre de vue Micheletto. Le prétendu Lune et Sang soupire d’exaspération. Et puis, Micheletto, tu décide que c’est le moment de prendre les agresseurs de revers. Localisant les 3 hommes vous agressant et Elvis Noé Turel dans la rangée initialement derrière toi, tu reprends forme humaine pour jouer de tes poings sur la première personne en face de toi. Félicitation à toi puisqu’il s’agit d’Elvis Noé Turel que tu frappes de toutes tes forces. Néanmoins tu sembles avoir oublié ton poignet récemment brisé, et la douleur te revient après avoir asséné ton meilleur coup de poing. Ce ne sera pas suffisant pour briller dans cette petite baston. Désiré étant dans les vapes, c’est du 3 contre 1, et seul et nu, tu ne peux pas faire grand chose. Deux des hommes te saisissent et t'assomme dans coup de genoux dans le ventre puis d’un coup de poing au visage. C’est désormais le black out pour toi aussi. A la différence que toi tu es tout nu.
“Qu’est-ce qu’on fait d’elle, boss ?” “Elle ? C’est qu’une gamine aux chaussures crasseuses qui se prend pour une mafieuse.” il ricane. “On en a pas besoin.”
Maxine, il parle de toi. Tu te débats comme un beau diable, frappe à l’aveugle l’agresseur qui te tient. Il grimace quand tu le mords mais il semble habituer à tout ça et ne te lâche pas. Finalement, sous ordre de son boss, il te libère avant de l'envoyer valser dans le couloir longeant les sièges. Tu es légère, donc tu voltige assez loin. Si tu craignais pour ton atterrissage, il n’en est étrangement rien puisque tu viens te heurter contre quelque chose d’assez…mou ? Qui vient amortir ta chute et tomber à la renverse avec toi. il s’agit d’Errilys qui, malheureusement, vient de te prendre de plein fouet, lui qui tentait de suivre les quelques personnes bougeant dans la salle pour comprendre ce qu’il se passe.
Tout s’est passé en un laps de temps très court. Faith et Landha, vous êtes restées calmes pendant la coupure de courant, toujours à vos sièges, tout proche de la scène. Si vous avez été attentives, vous avez entendus des choses devant vous. Visiblement, Charles Guérin ne fut plus la seule personne sur scène quand la lumière s’est éteindre. Vous avez pu distinguer 4 ou 5 personnes supplémentaires. Il se passe quelque chose, c’est sûr.
Et puis la lumière revient. Maxine et Errilys, vous êtes un peu confus et sonnés. Maxine parce que tu as été menacée puis envoyée valdinguer et que tu as atterri sur le pauvre Errilys. Errilys, parce que tu t’es pris Maxine de plein fouet alors que tu essayais d’y voir plus clair. Faith et Landha, vos yeux se reportent instantanément sur la scène devant vous, bien que vous êtes un peu aveuglé par la lumière revenue. Mais pas le temps de souffler, il y a quelqu’un sur la scène, et ce n’est pas Charles Guérin. Il s’agit d’Elvis Noé Turel, un pistolet dans la main pointant le ciel.
“Mesdames et Messieurs, la vente aux enchères est terminée… Et surtout, bonne soirée.”
Tout sourire, il tire une balle vers le ciel qui retentit dans un bruit terrible. Et la lumière s’éteint de nouveau. Nouvelle vague de panique, cette-fois ci à cause des tires. Quelques instants plus tard, la lumière revient.
Vous découvrez Charles Guérin gisant au sol sur la scène des enchères, visiblement blessé car vous pouvez sentir l’odeur du sang. Le tableau du Tigre dans une tempête tropicale à disparut, et si vous allez voir derrière les rideaux, ce n’est pas la seule oeuvre à ne plus être présente. Certains convives ont essayés d’ouvrir la porte par laquelle vous êtes arrivés mais celle-ci est verrouillée. Vous êtes visiblement coincés ici. Et Micheletto et Désiré manque à l’appelle. Il va falloir trouver un moyen de s’échapper.
ET AVEC...
??? ??? Maison ??? Âme ???
Désiré, Micheletto, lorsque vous reprenez vos esprits, vous vous réveillez dans une salle qui ressemble à un bureau ou à un entrepôt ? Vous n’êtes pas vraiment sûrs puisque ce n’est pas très bien rangé, mais vous distinguez tout de même un bureau. La première chose que vous remarquez, c’est que Micheletto est nu. La seconde, c’est que vous êtes menottés et à genoux dans l’incapacité de vous transformer. La troisième, c’est que quatres personnes vous font face.
Deux hommes et une femme en costume qui n’inspirent pas confiance, l’un armé d’un fusil et les deux autres de pistolets, mais ils ont sûrement d’autres choses à la ceinture. Ils entourent une femme, qui vous fixe d’un air froid. Vous distinguez encore mal son visage car le réveil est rude, mais elle porte un cache-oeil à l’oeil droit et semble habillée d’un long manteau noir à fourrure. Elle semble grande et assez menaçante pour ne pas avoir besoin de garde du corps. Désiré, tu éprouves un mélange de peur et d’excitation en croisant son regard.
“C’est lui, le peintre ?” Elle demande à un de ses sbire. L’un acquiesce. “Très bien.” Elle se tourne ensuite vers Désiré. “Bonsoir, Désiré Chanteloup.”
Avant de sourire d’un air mauvais. C'est clairement une prise d'otage.
- Désiré et Micheletto, vous venez de vous faire kidnapper/pris en otage ? Qui sait. Mais vous êtes dans une petite salle en charmante compagnie, au sol et menottés. Vous ne pouvez pas vous transformez. - Errilys, Landha, Maxine et Faith, vous êtes enfermés dans la salle des enchères. Il va falloir trouver un moyen de sortir d'ici sachant que la porte d'entrée est verrouillée et que vous n'avez accès qu'au derrière de la scène. Peut-être est-ce aussi le moment de vérifier quelles oeuvres d'art manquent à l'appel, et de vérifier si Charles Guérin est en vie. (Il y a t-il un médecin dans la pièce ?) - Vos objectifs je le rappel, sont: de vous échappez pour les oieaux, de récupérer le bijou Dupuy pour Maxine, de ne pas mourir pour Désiré et Micheletto. - Si vous avez des questions, n'hésitez pas !
Vous avez jusqu'au dimanche 06/11/22 pour répondre !
@nébuleuse
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Maxine Dupuy
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Ven 4 Nov - 14:50
Terribles enchères
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Maxine hargneuse, la chair meurtrie et les muscles crispés. Le dos arqué dans une énième tentative. Elle n’écoute plus rien, ne voit plus rien. Inconsciente des deux autres qui se battent à ses côtés. Chacun pour sa pomme et malheureusement pour elle, elle ne fait pas le poids. Bientôt elle se retrouve propulser plus loin, crie de rage dans la grande salle. Maxine, elle se prend un truc en pleine face, les angles d’un coude dans les côtes. Etalé sur un bon samaritain s’étant mis sur le passage. Comme c’est cordial. Mais Maxine n’a rien de cordial, repousse l’autre sans ménagement, se relève alors que la lumière revient enfin. Elle cligne des yeux, regarde à gauche et à droite. Plus de Désiré. Plus d’artiste un peu nul. Plus d’ennemi. Plus de vente aux enchères ?
Elle n’offre bien qu’un regard à l’oiseau ayant amortie sa chute. Ne dit pas merci, Maxine ne dit jamais merci. « Bordel. » Un peu pour elle, un peu pour lui. Et elle se souvient, son collier. Sans hésitation, la pie file en direction de la scène, saute par-dessus l’estrade et se met frénétiquement à inspecter les œuvres mais rien n’y fait, le bijoux Dupuy a disparu.
« RHAAA FAIS CHIER ! »
Un cri du cœur. Elle sautille, secoue la tête en n’osant pas y croire. Elle y était presque. L’envie de donner des coups dans le vide, mais la blonde s’arrête in extremis. Oh, elle a failli marcher sur quelqu’un. Dans une flaque de sang. Ça lui rappelle la fosse, ça lui rappelle les corps qui s’amassent pour faire une pause dans leur propre mort. Une grimace pour Charles, à ses pieds. Il a l’air un peu mort, un peu vivant. Elle ne peut pas grand-chose pour lui. Maxine l’enjambe, préférant vérifier que son précieux collier n’a pas glissé quelque part un peu plus loin dans le chao, mais non. Rien.
Encore un regard pour Charles, en colère. « Il est où mon collier ? Tes potes sont partis avec ? » Mais elle n’est pas bien sûr qu’il soit capable de lui répondre. « Hé, personne a vu mon collier ???! » Elle s’adresse maintenant à toute la salle. Histoire de les faire participer un peu, son bijou ne va pas se retrouver tout seul.
Maxine se redresse après avoir atterri sur Errylis. Elle dit pas merci, pour quoi faire ?? Elle a le sens des priorités et cherche son collier sur la scène, mais Charles fait un peu chier à être en train de crever en plein milieu. Elle trouve pas son collier, c'est la merde. C'est une priorité absolu de le retrouver meme si elle se doute bien que les méchants son partie avec. collier collier collier.
Maxine Dupuy
Micheletto C. Qaderi
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Ven 4 Nov - 22:57
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Terribles enchères | Event 3 Pour un coup lancé à l’aveugle, ses phalanges avaient fait contact avec quelqu’un: c’était bien assez suffisant pour lui donner toute la confiance nécessaire pour la suite, quand bien même ses déboires avec le cadet Chanteloup revenait une fois de plus le hanter, paralysant presque son bras. Mais tant qu'il lui restait le bras gauche, ce serait amplement suffisant. Et puis, il avait beau renier son amitié passée avec Désiré, il avait lui-même tâté de ses poings: même si ses années à jouer les gros matous de salon l’avait rouillé, à eux deux, ils n’auraient aucune peine à se débarrasser de quelques fauteurs de trouble.
Sauf que du côté de Désiré, il ne régnait plus que les cris de la gamine. Pas de bruit de lutte. Pas même le souffle du puma.
Alors c’est peut-être une pointe d’inquiétude qui a saisi son cœur avant que celui-ci ne soit remonté jusque dans sa gorge par la douleur vive étreignant son estomac.
Fin de scène pour Micheletto, sans applaudissement.
Au lever de rideau, c’est la douleur qui l'accueille avant la confusion. Ce serait mentir que de prétendre que cette situation n’était pas familière, vu le nombre de fois où il avait fuit par les trous de souris pour se réveiller nu et complètement perdu; même les menottes, ce n’était pas une première, mais le contexte usuel était bien plus agréable…
Puis bon, d’habitude, ce n’est pas la sale gueule de Désiré qu’il voyait au réveil. “Bordel…” Au moins, il n'a pas l’air mort, mais vraiment… Dire qu’il avait failli lui accorder sa confiance et s’appuyer sur lui pour ce combat, comme au bon vieux temps. Quelle déception. “…T’es vraiment d’venu une merde… J’arrive pas à croire qu’tu t’sois fait défoncer aussi vite…” Ce n’est pas le moment pour les messes basses, mais c’est plus fort que lui. Au moins, s’il arriver à grommeler, c’est qu’il retrouve petit à petit ses esprits. Il pourrait presque rire de cette démonstration pathétique si ce n'était pas pour les flingues et la poulette avec son manteau en peau.
Le choix vestimentaire suffit à faire trembler la proie qui sommeil en lui, mais au moins la gueule qui revient doucement en focus ne lui dit rien -ce qui ne veut pas dire grand-chose quand on a passé tant de pans de sa vie ivre mort. S'il pourrait se vexer qu'on ne lui adresse pas directement la parole, moins on fera attention à lui, plus facilement il arrivera à se sortir d’ici, même s’il se permet de glisser un “c’ton exe ?” à son compagnon d'infortune.
Miche était content que son coup ait porté mais ça a pas duré. Quand il se réveil, il trouve rien de mieux à faire que se foutre de la gueule de Désiré vu qu'il s'est fait mettre KO avant lui et préfère profiter qu'on ne s'adresse pas directement à lui pour chercher une faille potentielle pour s'échapper, sans trop de succès.
Micheletto C. Qaderi
Désiré Chanteloup
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Sam 5 Nov - 13:07
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Terribles enchères
Les sens du fauve sont à peine émoussés par les liqueurs d’or, la boisson des vainqueurs, et il avale comme à l’époque, les odeurs et les silhouettes, le danger ressemble à un murmure nostalgique près de ses tempes. La chair calcinée ragaillardit le bookmaker, dont les griffes défont l’étau, et le corps, comme les anguilles, danse un volte-face. Se battre, encore et encore, à en avoir la vision clairsemée d’étoiles rouges et la sueur trouble de sang. Les crocs devant, il le voit, Turel, Turel et sa sale gueule bouffie d’assurance, un peu comme lui, mais pas vraiment. Les muscles bandent, les cuisses plient pour bondir. Il a la détente comme un ressort, Désiré, il lui arracherait bien la jugulaire, un collier avec les boyaux et une couronne avec les os, une parure digne de lui.
La violence du coup le cueille à l’arrière du crâne, un choc mat qui brûle, laisse le sang perler en sirop noir, et le plonge dans une obscurité totale, ça a le goût de la frustration. Désiré n’aime pas ça, partir sans une révérence, partir avec les genoux qui cèdent en premier, partir sans être acteur du carnage. Putain de salopard. Un dernier souffle pour agiter ses lèvres tremblantes de rage, et c’est déjà les aux revoir. Pas de doute c’est Mortimer qui va ramasser sa carcasse en pièce dans les caniveaux pour lui offrir des funérailles dignes de son vécu. Mortimer. Un dernier sourire se dessine avant que la lucidité s’arrache à lui.
Fourbu, les yeux clignent sur une lumière partielle. Il a encore la migraine du coup qui le ravage et pourtant Désiré ne détache déjà plus yeux de la nouvelle occupante. Elle a la silhouette dessinée de violence, le cache-œil et les sutures de plaies passées, la mort blottie sous les ongles c’est certain. Elle lui plaît, comme la promesse de plus, son destin. La fauve en a la gorge sèche, si seulement il restait à boire, et les iris brillant d’excitation contenue, ça fait si longtemps qu’il ne s’est pas senti aussi acculé.
Les mots jetés par le rat, nu comme un vers, lui arrache un demi rire. Il a la peau surpiquée par le froid, l’œil teigneux, et quelque part Désiré se rappelle ces nuits, passés au-dessus des comptoirs de bois et fatalement jetés sous les ponts, tout sanguinolents pour une histoire de fille, une raison débile pour s’esquinter.
Tu t’es vu. Moi au moins j’sais encore être présentable devant une femme. T’as vraiment rien appris depuis le temps. Il fanfaronne un peu, Désiré, à qui l’adjectif présentable sied si mal, il a encore l’hémoglobine séchée qui craque derrière sa nuque. Son regard se tourne sur le blonde, une crinière digne du cinéma, et l’assurance grave de son timbre. Il aimerait un rencard à huit clos, sans le peintre pour lui disputer l’attention du maître d’orchestre, celle qui tire les ficelles, alors il grogne à demi-sérieux. J’aurais jamais laissé partir une fille comme ça.
Avec insolence le fauve redouble d’intensité, il raidit l’échine au mieux, se tient droit dans son costard débraillé, un rictus espiègle au coin des lèvres fendus. Il a mal le crâne. Il a un bordel de pensées, parce que tout ceci n’est pas un hasard, et il n’aurait pas pu rêver un dénouement spectaculaire pour arriver à cette rencontre. Une rencontre il en est certain qui va bouleverser ses entreprises, le chaotique de ses ambitions.
Bonsoir. Poupée.
HRP:
ϟ Désiré est vrm déçu de partir si vite mais bon c'est la vie hein. Il pense quand même un peu à son frère parce que c'est ce qu'il fait quand il croit qu'il va clamser. PTDR MICH keske tu fous là. T tou nu fais pa trop le malin en ft. Bon, elle est bonne la meuf et en plus Dez il sent bien que y a un truc qui se prépare, un truc qui va lui rapporter plus d'argent et de pouvoir (il est fou à lié il va juste mourir purée). Du coup, deux objectifs, déjà s'assurer de gagner le concours de bite avec Mich + ben vite vite en savoir plus.
Désiré Chanteloup
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Sam 5 Nov - 21:18
Du monde sur la scène… Fichus voleurs certainement, sans grâce ni dignité. Bordel, quand on commet un larcin, on fait ça bien, on attend que les idiots d’acheteurs sortent le porte-monnaie pour rafler les œuvres ET le pognon. Décidément, rien de calme cette soirée, alors que c’est ce qu’elle recherchait avec son petit carton d’invitation. Tant pis, on se désolera avec ce que l’on en retirera.
La lumière revient, d’abord brûlante puis d’une grande utilité pour ses yeux aiguisés. Comme elle l’a senti, Errilys s’en est allé… Tiens son verre a fait de même en se renversant dans son sac à main. Est-ce de son fait, de celui-ci de son voisin ? À moins que le cocktail mu par un besoin irrépressible de liberté ait décidé de rejouer la grande évasion ? Qu’importe, son sac était certainement fichu à cause de l’alcool qui imprégnait le tissu.
*Encore heureux qu’il ne m’a coûté qu’un coffret collector de « Dar, l’Animaster ». Oh, mais ce cher Errilys n’en sait rien… Non, ne sois pas si vénale… Bien qu’il y aurait moyen de faire des économies s’il se fait pardonner en m’achetant le tableau.*
Prise dans ses propres réflexions comptables, Landha ignora un instant le fauteur de troubles sur scène, ce qui lui fallut de sursauter lorsqu’il tira en l’air éteignant à nouveau, dans une belle synchronisation de ses comparses, la lumière de la salle.
- Le petit enfoiré, c’est qu’il m’a fait sursauter !!
La lumière revenue, ses yeux habitués à celle-ci, Landha fit un rapide tour de la salle. Il lui semblait que des personnes manquaient dans les rangées derrière elle. Difficile de dire, la salle n’était pas complète quand elle s’est installée. Certains invités s’acharnent sur la porte qui ne semble pas vouloir s’ouvrir. Au moins, aucune raison de se presser, elle ne sortira pas de suite de cette vente avortée. Parlant vente, elle aperçoit du coin de l’oeil une jeune femme courir vers la scène et faire le tour des œuvres qui y restent.. QUI Y RESTENT !!! Le sang de l’Anima ne fait un tour : les brigands n’auraient quand même pas osé la dépouiller avant même qu’elle ne puisse profiter de ses acquisitions. Elle se lève, s’excuse auprès de sa voisine qu’elle enjambe à moitié, la fin de la rangée étant plus proche d’elle, et court vers la scène.Tandis que Maxine fouille, Landha inspecte… Malheur, le tableau qui l’intéressait n’y était plus. Forcément, le colifichet de collier lui, était encore bien présent sur son écrin, bien que les deux aient quittés leur présentoir pour le sol. Et la gamine là, qui s’égosille pour son collier à côté du maître de cérémonie. Ah, même si son comportement l’exaspère, le fait qu’elle soit près de Charles Guérin ouvre de nouvelles perspectives pour Landha.
- Bouge de là, gamine et arrête de nous casser les oreilles !! Tu n’es pas la seule à avoir été dépouillée pour ce soir, mais Charlot a peut-être plus à nous offrir que sa seule personne.
Ménagement, zéro, amabilité, zéro. Fini la Landha bien polie qui vend des gentils divertissements dans son magasin en souriant. On l’enferme, on la déleste… On va bientôt s’en prendre plein la face dès qu’il sera à portée de serres. Elle s’agenouille près de Charles, il est blessé, mais il semble respirer. Il ne lui reste qu’à prier les ombres qu’il survivra. Sa spécialité, hormis la vente, c’est d’écourter des vies, pas de les prolonger. Si un médecin est dans la salle, il s’en occupera mieux qu’elle. Par contre, ses poches peuvent peut-être contenir une clé, un pass magnétique, un badge quelconque qui ouvrirait la porte de la salle ou au moins celle de la réserve. Au pire, une petite compensation pécunière pour le temps perdu à cette soirée. Sinon, il lui restera à enlever une grille de ventilation et sous sa forme de rapace, se casser d’ici. Elle se penche sur le commissaire-priseur, se positionne comme si elle voulait écouter ses battements cardiaques… Et lui fait les poches pour peut-être trouver le sésame qui les fera sortir de ce merdier.
Résumé:
- Landha a certainement renversé le verre d’Errilys dans son sac… Elle ne manquera pas de trouver un moyen de compenser cette perte - Elle enjambe Faith pour aller sur scène et voir avec horreur qu’il lui manque son tableau - Elle « invite » Maxine à plus de « contenance » - Elle dépouille Charles de ses possessions… Enfin, de tout objet qui pourrait les aider à sortir de là.
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Faith A. Bartholomé
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Dim 6 Nov - 12:56
Elle a été dirions-nous, presque blasée tout durant. Pourtant très calme, Faith faisait attention à son image plus qu’autre chose, la jeune femme très douce et calme bref. Elle avait utilisé pas mal de moula en vrai pour avoir quelques tables et bijoux histoire de faire un acte de présence véritable sache qu’en soit elle avait été militée pour ça, histoire de garder certaines œuvres mais en revendre d’autre pour les fonds de l’hôpital et oui.
Bref quand la lumière c’est éteint, elle est restée sur sa chaise et a pas vraiment réagit. Au pire c’était un début de show, au pire c’était la fin du monde mais dans tous les cas elle c’était pas abaissé à répondre à sa voisine qui la questionnait sur son possible vision nocturne (et du coup je suis un oiseau diurne askip).
Et quand la lumière revient, elle ne réagit pas non plus. Genre c’est un show un peu bizarre mais y a des gens aux goûts étrange dans la vie alors qui est-elle pour juger ? Oui, elle juge totalement mais ne s’en donne pas l’air bref. Elle se rend compte assez rapidement que y a quelques choses de pas très logique dans toutes cette histoire, certaines personnes donneraient l’impression d’avoir besoin d’un bon xanax. Faith observe attentivement ceux qui essayent de sortir aka les pnj et d’autre un peu plus chelou qui vont sur la scène. Miskin Charlou à l’air un peu mort mais bon ce n’était pas son pote donc elle s’en fou un peu (beaucoup).
Sauf qu’avec sa vue binoculaire perçante (jsp ça veut dire quoi mais en gros elle voit trop bien), elle remarque que certains de ses achats ont disparus donc c’est un peu la loose. Non pas parce que ça lui tenait à cœur mais elle n’a pas vraiment envie de se faire créditer pour des biens dorénavant inexistants.
Du coup elle est en pleine réflexion intérieure, elle se mort la lèvre et soupire parce qu’elle se rend compte que la seule personne qui peu annuler ses achats est au sol, pisse le sang à la vue de l’odeur et se fait fouiller par des charognards. Donc bref, car la pa$$ion et le serment d’hippocampe avant tout, elle décide enfin de bouger son cul, monte sur scène et pousse Landha pour qu’elle arrête de fouiller ce bon vieux charlie.
« Vous savez que vous êtes sans doute en train de tuer la seule personne qui peu vous aider, dans ce problème d’œuvre disparu ? Un léger silence. Ou de trouver un moyen de sortir, comme vous préférez. »
Parce que toucher de cette manière une personne qui était blessé n’apportait jamais rien de bon. « Et cela serait idiot d’être arrêtée pour avoir été complice d’un homicide, vous ne pensez pas ? »
Parce qu’elle se ferait une joie de les dénoncer.
Faith peste alors contre elle-même quand elle tente de s’agenouiller à côté de ce bon vieux charly parce que clairement sa robe n’était pas faite pour administrer des soins.
« La première chose à faire c’est de lui administrer des premiers soins et de vérifier son état, surtout à la vue du sang. Il ne doit pas être manipuler à la légere. »
C’est-à-dire qu’une fois qu’elle saura qu’il était presque mort, on pourrait continuer de le fouiller. Mais pour l’heure ce n’est pas ouf. Et bref malheureusement j’ai pas fini Greys Anatomy donc j’ai pas encore validé mon diplôme de médecin, mais du coup elle vérifie son état, ses yeux, ou est sa potentiellement blessure et tout le tralala.
Faith A. Bartholomé
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Dim 6 Nov - 18:15
Terribles enchères
Alors qu’il vient d’atteindre le bout de la rangée, Errilys se fait violemment percuter par une jeune fille. La grognasse manque de s’ampaler sur l’instrument létal que tenait le danseur, mais se relève sans s’en rendre compte ou même lui adressé un regard. Quelques instants sont nécessaires au paradisier pour reprendre ses esprits, se sentir outré, froncer les sourcils, et ranger son joujou.
Finalement, la lumière revient, les yeux du volatile font le tour de la salle. Alors qu’ils devraient logiquement être attirés par la scène, il fixe plutôt l’arrière de la salle. La lumière d’une salle de spectacle est contrôlée en régie, si ce n’est pas une coupure de courant. Errilys observe donc la régie, qui doit logiquement être en hauteur vers l’arrière, et cherche si quelque chose d’étrange s’y passe.
Alors que son regard est porté ailleurs, le danseur sursaute au coup de feu et la lumière s’éteint à nouveau. Il soupire. Mais la lumière revient finalement, donnant le jour sur une scène macabre. De nombreuses personnes dont Landha se précipitent sur le corps de l’organisteur. Errilys ne pourra pas aider beaucoup de ce côté-là. La porte d’entrée semble verrouillée, à en juger par les nombreuses personnes qui s’affairent autour sans succès. Le paradisier pourrait sans doute partir sous forme d’oiseau par une fenêtre ou par une ventilation, d’autant qu’il n’a rien acheté. Pourtant, les œuvres d’art phares ne sont plus là et l’oiseau aimerait beaucoup avoir l’occasion de les observer de plus prêt. De plus, l’une des meilleures manières de partir d’ici serait surement de partir par le même chemin que celui qu’ont empruntés les voleurs avec leur butin.
Errilys saute donc sur la scène sans un regard pour les spectateurs ou les œuvres, et s’engouffre dans les coulisses. Il ressort sa lame et avance vite, mais à l’affut. Hors de question de se faire tirer dessus ou de jouer les héros. Au moindre dansger, le volatile s’enfuit à tire d’ailes.
Souffle Orange - Brise étrange - Joie
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Dim 6 Nov - 22:28
terribles enchères
VOUS ÊTES AVEC...
Le Boss Cheffe de la Mafia Maison ??? Âme ?
Micheletto et Désiré, vous êtes ce qu’on peut appeler: dans la panade. Vos petits échanges sarcastiques n’ont malheureusement pas l’air de faire rire vos ravisseurs. Les trois gardes du corps semblent totalement impassibles et leur cheffe ne décroche pas non plus un sourire. Elle te fixe d’ailleurs, Désiré, l’air de te jauger. Mais pas le temps pour un dialogue, car la porte derrière vous s’ouvre pour dévoiler Elvis Noé Turel qui semble être de retour, tout sourire.
“-Tout s’est bien passé dans la salle, boss. On peut passer à la suite.” “- Parfait. Wilson, Je te laisse récupérer l’artiste et t’occuper de la suite. J’ai une discussion à avoir avec notre ami.”
Au nom de Wilson, Elvis Noé Turel hoche la tête. La femme garde du corps s’avance pour te saisir à l’épaule, Micheletto. C’est un peu moins pratique de te tenir sans vêtement, alors ses ongles s’enfoncent un peu douloureusement dans ta chair. Malheureusement, ces gens-là n’ont pas l’air d’être vraiment sympathique. Tu sors de la pièce avec Elvis Noé Turel (ou Wilson ?) et tu laisses Désiré seule avec la femme au cache-oeil.
Désiré, celle-ci s’avance. Tu es toujours à genoux et menotté, les mains dans le dos, et si tu tentes de bouger, les gardes du corps sont là pour te ramener au sol. La femme s’avance vers toi, et finit enfin par répondre à ton apostrophe.
“Tu peux m’appeler Boss ou Patronne, Chanteloup. Mais pas autre chose.” La semelle des ses chaussures militaires viennent s’enfoncer sur ta cuisse. Elle te marche littéralement dessus, les crampons contre ta peau. “Il va falloir qu’on parle toi et moi.”
Elle se baisse un peu, vient saisir ton menton de son index et… te mettre un coup de tête. Tu es sonné, mais elle continue de parler.
“Tu m’as causé bien des soucis cette été, Chanteloup. Tu peux m’expliquez où est-ce que tu as eu la merveilleuse idée de prétendre que la fosse était à l’origine de la disparition des miliciens ?” Coup de pied dans le ventre alors qu’elle tourne autour de toi. Une fois dans ton dos, elle vient enfin attraper tes cheveux pour relever ta tête. “A cause de toi, mes hommes et moi avons eu Solvienne sur le dos. Je ne t’apprends rien, Chanteloup, mais la Mafia et la Milice, c’est comme chat et chien. Et pourtant… après des années d’efforts, on a réussi à trouver un équilibre. Mais depuis que cette pétasse est passée au pouvoir, les choses changent, et cette chienne fait de son mieux pour tenter de nous démanteler. Et toi, au milieu de tout ça, au lieu de bien gentiment faire le travail que je t’ai donné, tu t’es dis que c’était une brillante idée d’impliquer la fosse dans les histoires de la Milice…” elle soupire, avant de relâcher tes cheveux. “J’espère que tu as une bonne explication.”
Elle refait un tour autour de toi, vient s’adosser contre le bureau à nouveau, récupérant un couteau posé dessus. Elle vient passer ses doigts sur sa lame, devant toi, tout doucement.
“Je te laisse cinq minutes pour réfléchir. Si ça ne me convient pas, je me ferai un plaisir de te faire crever la gueule ouverte comme ces chiens de miliciens.”
Et pour la première fois, elle sourit.
ET AVEC...
Elvis Noé Turel ? Wilson ? Clairement louche Maison de la Lune et du Sang Âme ???
Micheletto, tu es traîné tout nu dans les couloirs de la Galerie en compagnie d’Elvis Noé Turel, ou de Wilson, tu ne sais pas trop et tu es un peu confus. Celui-ci semble parfaitement dérangé de te voir le gnocchi à l’air, et ne te regarde pas. Toi qui connais un peu les lieux, tu identifies que vous êtes toujours au 1er étage, dans les labyrinthes de la galerie, là où les œuvres sont exposées habituellement et qui fourmillent de petite salle. En parlant de ça, vous voilà arrivez devant une salle fermée. Elvis Noé Turel tappe un code, et vous voilà dans une toute petite réserve. Le garde te pousse et te voilà pénétrant dans la pièce. En face de toi se trouvent trois tableaux.
“Bon, l’artiste. Toi qui t’y connais en peinture, on va avoir besoin de ton aide. Je te suggère de ne pas nous mentir. C’est un conseil d’ami. Regarde bien. Parmi ces 3 tableaux, il y en aurait deux qui seraient humains. Tu as 10 minutes pour trouver lesquelles.”
Le premier tableau est le fameux “Tigre dans une tempête tropicale” annoncé par Charles Guérin avant que la lumière ne s’éteigne. Le deuxième tableau représente un arbre noir, à gauche, ainsi qu’une vue sur la ville de nuit et de magnifique étoiles en spirales qui semblent flotter dans le ciel. La ville représentée est peut-être Lunapolis ou Babel, ou une ville fictive, qui sait ? Le dernier tableau représente quatres personnes sous formes humaines, qui dansent nue. Le fond du tableau est bleu et les personnages sont orangés.
Micheletto, je te conseille de ne pas te tromper.
VOUS ÊTES AVEC...
Charles Guerin Organisateur de la soirée Maison des rose et de l'ombre Léopard
Maxine et Errilys, vous fouillez le derrière de la scène, mais vous ne trouvez rien d’intéressant. Maxine, tu peux juste constater l’absence du bijoux Dupuy, ce qui te met vraisemblablement très en colère. Errilys, vous êtes seuls. Plus aucune trace de celui qui a tiré juste avant, ni de ces hommes. Tu remarques tout de même, outre les conduits d’aérations, que la porte de sortie d’urgence est scellée, et que la seule autre porte qui se trouve derrière la scène est une porte avec un code à rentrer.
Faith tu sembles être la seule personne raisonnable de la soirée. Alors que Landha vide les poches de ce pauvre Charles, tu accourent à sa rescousse, dégageant Landha au passage. Il a été poignardé au niveau du bas-ventre, mais aucun organe vital ne semble être endommagé. Avec sa chemise, tu lui fais un garrot pour limiter au maximum les saignements. Grâce à toi, il devrait s’en sortir. Il est d’ailleurs dans tes bras, faible mais bien vivant. Il semblerait même qu’il puisse marcher maintenant que le sang s‘est arrêté.
“Ah, mademoiselle Bartholomé… Merci. Merci, vraiment… Votre réputation vous précède... Mais ça va, je vais bien.... Je crois...” Il n'est pas sûr, mais ça se voit qu'il va mieux et qu'il a arrêté de pâlir. Son regard se dirige vers toi, Landha. “Mme Sanguir, cependant… j’espère que vous avez une bonne explication sur le fait d’avoir fouiller mes poches… Je suis… assez déçu…”
Le pauvre Charles te regarde d’un air triste. Toi qui voulait une compensation pour tes œuvres volées, tu risques d’aller te faire brosser.
“Qu’est-ce que… ?”
Et puis soudain, il y a un bruit. Comme de l’air qui se propage. Si vous regardez les conduits d’aération, vous voyez de la fumée qui semble s’en échapper. Ou peut-être est-ce du gaz ? Les convives restées vers les sièges commencent à respirer et à suffoquer. Si vous attendez quelques minutes, vous pouvez les voir s’effondrer.
“Mon dieu ! Aïe…” s’écrie Charles en voulant se relever, mais sa blessure le ramenant à la réalité. “Il faut sortir d’ici… Il y a la porte de sortie et la porte avec le code. Le code c’est… je, je ne sais plus…” le sang perdu de sa plaie ne l’aide pas vraiment à se concentrer. “Je crois que c’est… la… la date d’un des tableaux phare… mais… c’est un…agh…”
Le pauvre Charles tiens à peine debout et le gaz se répand de plus en plus dans la pièce. Il va falloir sortir d’ici, et vite !
- Désiré, tu es seul avec Le Boss pour un petit entretient en tête à tête. - Micheletto, tu but est d'identifier les prétendus tableaux humains. Ton but est de trouver les deux bons tableaux parmi les trois. Si besoin, tu peux demander conseil aux autres joueurs. (je ferai facteur) - Maxine, Landha, Errilys, Faith... Il va falloir vous échapper de la salle !!!
Vous avez jusqu'au mercredi 09/11/22 pour répondre !
@nébuleuse
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Maxine Dupuy
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Lun 7 Nov - 21:14
Terribles enchères
Event 3 24/10/2098
Maxine un peu désespéré, l’humeur massacrante. Inspirer, expirer. La pie s’immobilise quelques secondes pour retrouver son calme, freiner les ardeurs de son cœur ; de sa fureur Un majeur en l’air pour la vieille poufiasse blonde. Une langue tirée enrobée d’effronterie. Charles peut bien crever à ses pieds, la bouche en sang et les poches vidés de tout son porte-monnaie. La pie délaisse bien volontiers la lourde charge de l’empathie pour se focaliser sur sa douteuse moralité, préférant examiner une nouvelle fois la scène à la recherche de son collier.
Charles de nouveau à peu près sur pieds, la pie l’écoute d’une oreille distraite, peu intéressée par le discours jusqu’à ce qu’un drôle de bruit lui fasse lever la tête, observer la fumée qui semble s’échapper des conduits d’aérations en ouvrant de grands yeux. Oups. Maxine, elle n’a pas signé pour ça, le regard soudain un peu paniqué, elle s’empresse de revenir aux côtés de Charles et de la femme qui semble être médecin. De ses deux petites mains, elle attrape le matou par le col, le secoue un peu sans se préoccuper de sa blessure. « Bordel le code ! C’est pas si compliqué ! Donne le où j’te jure que si on survit, j’te retrouve et j’te tue. » Ce qu’elle dit n’a plus grand sens, mais Maxine n’a décidément aucune envie de mourir ici. Lâchant la pauvre bête, elle se redresse. Respirer, inspirer. Elle s’adresse finalement à l’assistance, levant sa manche devant son nez pour éviter de respirer la fumée.
« Ok ok. La date d’un tableau. Ya quelqu’un d’intelligent ici ? Non tant pis, je m’y colle. » Elle se tourne vivement vers le léopard. « Yen avais plein des tableaux, connard ! » Avant de se remettre à réfléchir, faisant les cent pas devant la fameuse porte qui lui parait bel et bien verrouillée (elle le sait, elle vient de tirer de toute ses forces). « Si on réfléchit bien, ça devrait être un de leur tableau phare, ceux posé en avant là. Ils étaient moches mais c’pas le problème. Yen avais deux, alors une chance sur deux nan ? C’est soit le tigre, soit la nuit étoilées, les deux avaient l’air vachement ancien, ptetre qu’il faut chercher une date avant 1900. »
Et après 1868 donc, la date à laquelle leurs ancêtres ont atterri sur cette île. Mais il reste encore un paquet de combinaison et malheureusement, Maxine n’écoutait que d’une oreille distraite les explications données pour les enchères.
Maxine fait un fuck à Landha la poufiasse. Elle s'en fou un peu de charles. mais par contre s'il a le code faudrait peut-être qu'il aide et serve à quelque chose????? looser. Finalement elle se souvient pas de la date, parce qu'elle écoutait pas les enchères mais elle livre quand même sa reflexion au public en se prenant pour sherlock.
Maxine Dupuy
Faith A. Bartholomé
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Lun 7 Nov - 21:42
des gens moches
terribles enchères
Au début elle le prend au mot, un peu décontenancée. Parce qu’elle se dit que Charlie était encore plus ingénieux qu’elle ne l’aurait cru, d’avoir ainsi sécurisé une porte : une idée merveilleuse que d’y mettre un code et pas d’autre possibilité accès, lorsqu’on était en plus, incapable de s’en souvenir !
« Un phare, est-ce qu’il y a un tableau qui représente un phare ? »
Faith fronce les sourcils un instant, tente de respirer le plus calmement possible tout en faisant son possible pour soutenir le blessé inutile. Elle s’imagine que si Charlotte joue au père fouras, c’est soit parce qu’il va bientôt lui claquer entre les doigts -alors qu’elle vient de vérifier son état et sait qu’il n’est pas littéralement en danger de mort. Soit parce qu’il cherche à rendre la vie dure à ses invités, mais toujours est-il qu’avec le sang perdu, il lui paraissait étrange qu’il puisse inventer une information inexistante pour les convives.
Alors elle pense, elle réfléchit.
Semble même bien trop concentrée pour réagir lorsque la gamine vient secouer son patient déjà en mal être.
Et parce qu’il ne fallait pas oublier que Faith avait fait des longues études de médecine et avait du travailler sa mémoire depuis son plus jeune âge. D’un grand père exigent et d’un grand futur. Alors, elle se souvient aussi des choses les moins essentiels de la vie parce que c’est toujours sur ça que sont les examens de médecine. Elle se souvient des tableaux qui lui avaient fait de l’œil, ceux pour lequel elle avait enchérie et ceux qui n’était pas encore passé…
« 5000 lenss, vieux de presque… ans… »
Qu’elle se murmure à elle-même, pour remonter dans ses souvenirs, dans les choses qu’elle était censée faire et savoir. Semblable à la première fois que son père l’avait fait rentrer dans un bloc opératoire lors de son internat. Alors elle se voit prête à jauger la toile de son premier rang, savoir si elle allait enchérir sur ce tigre dans sa jungle.
« 1391 ? 1891 ? »
Elle s’en voudrait presque de ne pas y avoir autant prêté attention, mais elle n’avait pas été charmé plus que ça. Mais après le monologue de la pie malpropre, Faith semble effacer quelques doutes.
« Essaye 1891. C’est le tigre dans une tempête tropicale et de là, remonte jusqu’à 1900. Le second m'échappe pour l'instant. »
Parce que partir de 1391 ou bien partir dans le sens inverse pour l’atteindre serait tout bonnement impossible, alors elle devait se forcer à croire que l’esprit de la prolétaire pouvait l’aider, quand bien même cela ne lui faisait pas plaisir. Car oui, elle pouvait duper certaines personnes mais pas ceux qui ont l’odorat sur la vraie moula.
résumé; - charles est con - elle pense a un tableau avec un phare mais en fait non - 1391 ou 1891 elle se souvient plus car le 3 et le 8 incliné c'est moche - réagit aux dires de Maxime et propose de tenter 1891 jusqu'à 1900 - au pire charles est con - au mieux charles est vraiment con
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