Une fois encore, le pétillement dans les yeux d'Ophélie fait tomber comme un immense morceau de glace dans mon estomac. Oui, vraiment ça doit être tellement plaisant d'aimer son métier à ce point.
Je hausse un sourcil à l'évocation du Docteur Harken et des mystères qu'il fait au sujet de ses recherches. Qui aurait pensé qu'un centre de recherche proposant une journée portes ouvertes aussi vaste et pleine d'activités ferait autant de secrets ? Mes connaissances du milieu scientifique étant plus que limitées, je ne suis pas au fait des dernières découvertes du centre, et me sens donc un peu soulagée d'entendre que la présentation va continuer de se focaliser sur le centre lui-même.
J'observe avec avidité notre interlocutrice, impatiente d'en apprendre plus, après avoir jeté un coup d'oeil à ma collègue afin de m'assurer qu'elle ne risque pas de voir la curiosité transparaître. Arrête de t'inquiéter et écoute.
Je sens mes oreilles frémir, à peine un instant avant l'ouverture des portes. Puis les cris et les pas agités. Mais qu'est-ce que.... La milicienne en moi reprend le dessus. Le dos se redresse, se tend. Le visage se ferme à nouveau, coffre-fort quasi impénétrable. Je jette un second regard vers ma collègue. Je l'inviterais bien à me suivre, mais puisque je ne connais pas son nom et qu'elle avait l'air somnolente à ma dernière vérification, je me contente de diriger vers elle un regard entendu, espérant qu'elle l'interceptera. Un groupe et toujours plus efficace qu'une seule personne, lors d'une intervention. J'avance vers le centre de l'attention de tous d'un pas décidé, celui qui décourage la majorité des gens qui envisageraient de se mettre sur mon chemin ou de te parler... Je secoue légèrement la tête. Pas maintenant.
J'observe la scène. Le pauvre homme a l'air déboussolé. Mon regard se porte sur mes collègues, refusant de faire obstacle au bon déroulé de leur mission, je reste en retrait, mais sur mes gardes. Prête à intervenir. Ce n'est pas que je n'ai pas confiance en eux mais... si, en fait. Si ce n'est pas moi qui me charge de quelque chose, alors je ne peux pas être sûre que la chose soit faite correctement.
(c) opalescence
Résumé : - Lily est un peu jalouse de la passion d'Ophélie pour son métier - Elle est un peu frustrée de ne pas être plus au point niveau connaissances scientifiques - Elle essaie d'inciter Violette à réagir ensemble, mais elle ne fait pas beaucoup d'efforts parce qu'elle la connaît pas - Elle a pas confiance en les autres miliciens parce qu'elle ne les connaît pas tous et se tient prête à intervenir
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Dim 30 Oct - 10:38
Violette somnolait encore jusqu'à sentir le regard inquisiteur d'ophélie sur elle. Et aussi le fait que deux adolescents s'amusaient un peu. Certe, ils étaient bruyants, mais elle avait entendu pire comme bruit. Mais soudain, un brouhaha s'éleva de la foule qui s'éparpillait. Un homme en blouse blanche apparu. Était-ce un scientifique ? Non, plutôt un patient vu le bracelet qu'il portait au poignet. À ce moment-là, elle était bien éveillée et son cerveau était en mode milice. Elle ne pouvait agir vu à la légère puisqu'elle était ici en tant que civile. Elle observa l'homme au cheveux blanc et la jeune Ophélie.
Violette pris la direction de sa collègue Lily. Passant au passage près des adolescents, elle leur fait une tape sur l'épaule avec un doux sourire :
- éloignez-vous du danger s'il vous plaît
Dit-elle avant de poursuivre son chemin. Arrivée près de sa collègue, violette scruta l'homme. Quelques miliciens s'approchaient déjà. Violette, ne connaissant pas la situation ni les faits de l'homme, ne s'approcha pas de suite.
-tu penses quoi de la situation ? Tu pense à un exercice ? Au vue de leur tête, pour ma part, je dirais que non !
-------- résumé ------- - violette se réveille sous le regard inquisiteur d'ophélie - elle voit la foule s'éparpiller - un homme vêtu d'une blouse blanche l'intrigue - rejoint sa collègue au cas où il faudrait agir, malgré la présence de ses autres collègues sur place. - parle aux deux adolescents pour qu'ils aient se mettre à l'abri
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Dim 30 Oct - 12:38
Peut-être que travailler ici lui aurait plu, si elle n'avait pas eu cette vocation de soigner. Ellie est un peu déçue de la réponse, mais elle comprend. Ils ne peuvent pas trop parler des projets en cours, c'est encore une secret. Et puis le docteur Harken n'est pas le plus ouvert des hommes sur ses "grandes découvertes." Alors il va falloir attendre que tout soit rendu public - elle a déjà hâte d'en apprendre plus. Oui, elle est certaine que ça lui aurait plu de faire des recherches.
La foule réunie à l'entrée crie lorsque les portes s'ouvrent dans un fracas. Ce n'est pas normal, la jeune chouette peut le sentir. Mais la milice est déjà sur le coup, pourquoi intervenir ? Pauvre homme qui semble tout perdu. En s'approchant elle capte un mot. Amnésie.
Il ne se souvient plus de rien ? Il n'a pas l'air blessé, mais très affaibli. Ellie ne veut pas déranger le travail des professionnels. Pourtant elle ose s'approcher de l'homme, demander d'une voix douce.
-Monsieur ? Que vous est-il arrivé ?
Peut-être qu'un souvenir lui reviendra, ou qu'il pourra donner les événements qui l'amènent ici. En tout cas Ellie s'inquiète pour lui, plus que pour le fait qu'il dérange la visite du centre.
Résumé : ellie paumée elle veut pas entraver le travail de la milice mais elle s'inquiète pour l'homme bonus lance un regard confus à wendy qui ne comprend rien
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Soul
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Lun 31 Oct - 14:41
Le brouillard du savoir
VOUS ÊTES AVEC...
Ophélie Rosenwald Laborantine Maison du Souffle et des Cendres Mulot
ET AVEC...
Roland Garcia Milicien Maison de la Lune et du Sang Lycaon
Autour de vous, ça chuchote, ça se tord le cou pour essayer d’apercevoir l’entrée du hall et l’inconnu. Apollo, Ophélie t’a suivis, s’approchant elle aussi. Elle hausse les épaules, intriguées. Elle n’a pas l’air de savoir plus que toi ce qui se passe.
Wendy, la foule se pousse pour te laisser passer, abasourdie devant cette gamine qui sautille et applaudit comme si tout ça n’était qu’un spectacle. Certains commencent à douter mais un nouveau regard sur l’inconnu totalement perdu et la situation ne fait plus aucun doute : ici, c’est toi qui semble n’avoir rien compris. Hector, tu n’as pas trop ton mot à dire, entrainé de force dans cette danse improvisé. Tout le monde vous regarde avec de grands yeux… L’homme ne semble aucunement avoir envie de faire quelques petits pas de danse avec toi Wendy et il se recule précipitamment à ton approche, secouant la tête. Le pauvre, il est déjà traumatisé…
Ellie, tu sembles être une figure apaisante entre tous ces miliciens en uniformes qui posent les questions peut-être un peu trop brutalement. L’inconnu te regarde avec de grands yeux avant de s’adoucir et de prendre la parole en bégayant.
« Je ne sais pas… je ne me souviens de rien. Ou suis-je ?? »Qui suis-je ? semble dire ses yeux apeurés.
* * *
Un grand milicien finit par apparaître entre ses collègues, les sourcils froncés. Tous le regardent en semblant attendre des ordres. D’un mouvement brusque, il attrape fermement Wendy sous son bras, les gesticulations ont assez duré.
« Ça suffit ! C’est quoi ce bordel ?! »
N’ayant probablement pas prévu de finir la journée en babysitting, le milicien lance un regard furieux à Violette et Lily, reconnaissant là deux de ses collègues. Cet homme vous dit quelque chose, vous avez surement dû le croiser ici et là dans les quartiers de la Milice. Peut-être la mémoire vous reviendra-t-elle, il s’agit de Roland, un haut gradé. « Vous deux, occupez-vous de ça. Ou retrouvez-moi ses parents, je n’en sais rien. » Par ça il parle apparemment de Wendy, qu’il vous refile sans attendre votre réponse. Il hésite peut-être à vous demandez également de vous occuper d’Hector mais dans un soupire d’exaspération il reporte finalement son attention sur le problème actuel, l’amnésique dans le hall.
Soudain, le visage du milicien blêmi. Il s’avance, les yeux ronds de surprise. « Andrew ?? » Apparemment, l’inconnu n’en ait plus tellement un et le milicien s’avance précipitamment pour attraper l’épaule de son ami qui lui, ne semble pourtant pas le reconnaitre. Après de nombreuses questions dont personne ne semble avoir les réponses. Le milicien finit par soupirer, laisser le pauvre homme au bon soin d’un de ses collègues. Tout le monde a l’air dépassé par les évènements et s’accrochent à ses paroles.
« C’est Andrew Carter. Un des nombreux miliciens disparus il y a deux mois… Tout ça n’a aucun sens. Je dois prévenir notre cheffe de Maison. » Et sans plus attendre, le voilà qui s’isole pour passer un coup de téléphone, loin de tout ce raffut.
Vous avez tous entendu les précédents échanges, tout ça n’augure rien de bon. Apollo, Ophélie t’attrape soudainement le bras, tous ses instincts animal oubliés. « Par les âmes sa tête me dit quelque chose ! » D’un doigt tremblant, elle te désigne Andrew Carter. « Ça me revient maintenant, j’ai vu son visage sur des documents, ici, au centre de recherche ! » Elle a le teint pâle et n’a pas l’air très bien.
Au même moment, le fameux Andrew redresse soudainement la tête, attirant de nouveau l’attention de toute l’assistance. « Je me souviens ! Je me souviens de ce hall… et d’une immense salle blanche… » Immédiatement, tout le monde le presse de question mais le pauvre homme n’a plus rien à dire, se contentant de baragouiner des mots sans aucun sens avant de se prendre la tête entre les mains, le regard vide. C’est certain, cet homme n’a plus l’air d’avoir toute sa tête et n’a plus aucune réponse à vous apporter.
* * *
Apollo, Ellie, Wendy, Hector, Lily et Violette, autour de vous la Milice commence à évacuer les civils, désireux de ne pas régler ça sous les yeux de tous. Cela semble évident maintenant, le Centre de Recherche n’est peut-être pas innocent à toute cette histoire. Les miliciens en fonction semble avoir reçue l’ordre de ne rien tenter avant l’arrivée de leur cheffe, mais qui sait quand celle-ci arrivera ? Les scientifiques du Centre quant à eux, sont totalement déboussolés par toute cette histoire et semblent sincèrement surpris.
Ophélie, toujours aussi pâle et sans lâcher Apollo, se dirige droit vers Lily et Violette nouvellement chargées du babysitting de Wendy et Hector. Paniquée, elle vous presse.
« Vous êtes miliciennes non ? Vous devez faire quelque chose ! Ceux là ne bougeront pas le petit doigt avant peut-être plusieurs heures ! » D’un doigt, elle vous désigne vos collègues en uniforme. En effet, il semble peu probable qu’ils aient officiellement le droit d’investir les locaux du centre de recherche sans avoir remplie de la paperasse au préalable. Et Ophélie semble sûre d’elle, les poings sur les hanches après avoir lâché ce pauvre Apollo. « Par les âmes et s’il y en avait d’autres comme lui quelque part ?! » On dirait qu’elle va vomir de nervosité…
- On n’oublie pas le petit résumé à la fin de chaque post ! - Si jamais vous n'avez pas le temps de poster une réponse complète, merci d'essayer de faire au moins un résumé de vos actions sous forme de tiret, pour que votre tour ne soit pas complétement sauté... - Actuellement vous êtes tous regroupés avec Ophélie (Ellie, je considère que tu n'es pas bien loin). Roland s'est éclipsé alors vous ne pourrez pas interagir avec lui. N'hésitez pas à faire preuve d'initiative pour ce post ! Vous n'êtes pas obligé de rester dans le hall à attendre qu'on vous mette dehors. - Vous avez jusqu’au jeudi 03.11 pour poster avant la réponse du MJ.
@nébuleuse
Soul
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Lun 31 Oct - 19:08
Présence rassurante, apaisante, elle s'efforce de sourire à l'homme. Elle n'est ni milicienne, ni même des forces de l'ordre. Mais ce dont il a besoin c'est d'un peu de douceur pour se calmer. Pas de brutalité soudaine alors que sa mémoire lui fait défaut. Néanmoins quelque chose lui revient. Ce hall, une immense salle blanche. Salle d'expérience ? Tout ça ne dit rien qui vaille à la jeune chouette.
Ce milicien disparu qui réapparaît soudainement au beau milieu d'une journée importante. Sans souvenirs. Sans rien à quoi ou qui s'accrocher.
Et puis il y a Ophélie qui semble prête à s'effondrer. Alors Ellie se rapproche, laisse l'homme entre d'autres maisn - qu'elle espère douces avec lui. La jeune chouette soutient sa camarade mulot, demande si ça va. Essaie de la rassurer quand bien même elle ne sait pas ce qui l'angoisse ainsi.
Enfin si. Elle a une idée. Une vague idée qui ne lui plaît pas. Curiosité revient cependant, la question franchit les lèvres.
-D'autres comme lui ? D'autres... D'autres sujets ?
Résumé : ellie se laisse pas mettre dehors on essaie de rassurer et soutenir ophelie qui a l'air au bord du malaise puis elle questionne quand même parce que c'est weird tout ça
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Apollo N. Cooper
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Mar 1 Nov - 19:07
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Tout devient de plus en plus confus. Et Apollo n’aime pas la confusion. Apollo n’aime pas qu’on gâche une si grande journée.
Mais que peut-il faire ? A part rester là et essayer de comprendre, rien de plus.
Il plisse les yeux. Comprend que le milicien qui s’est avancé semble connaitre celui qui a perdu la mémoire. Soit. Parfait. Il pourra l’aider ? Et ils pourront donc reprendre leur activité non ?
Non.
C’est de pire en pire. Alors qu’il a un brin d’espoir que la journée ne soit pas complètement gaché, Ophélie s’adresse directement a lui. Elle le dit. Son visage lui dit quelque chose. Elle affirme. Il était sur les documents du centre de recherche.
Il tique. « Quoi ? Mais pourquoi faire ? »
Le centre de recherche ce n’est pas vraiment le genre de d’endroit où Apollo verrait ce genre de document nominatif. Il grimace. Fixe Ophélie. « Sur quel genre de document as-tu vu ca ?? »
Sa curiosité est piqué, mais il n’a pas le temps d’avoir une réponse que l’autre s’exprime, il se s o u v i e n t de l’endroit. Etrange.
Apollo est de plus en plus paumé. Et il déteste ca.
Il suit le mouvement, se retrouve devant les miliciennes du groupe. Entend sa collègue qui lève le ton.
Il soupire légèrement. Et comme un écho aux mots de Ellie, il reprend sa collègue.
« Comment ça d’autre comme lui ? Ophélie. C’est forcément un cas isolé, il est perdu, pas dans son assiette, comment pourrait-il prononcer des pensées cohérentes, tu penses vraiment qu’il y en a d’autre dans le coin ? Qu’est ce que tu sais exactement bon sang ? »
Il claque sa langue. Agacé. Depuis le début, il sent qu’elle en sait plus qu’elle ne le dit. Elle parle de possiblement d’autre personne. Ça le fait tiquer.
Il ne peut plus rester les bras croisés. Le regard vers les miliciennes.
« Même si ca reste flou, elle a raison, le centre est grand, une personne amnésique aurait vite fait de s’y perdre comme notre… ami. »
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résumé : - Apollo capte rapidement que la situation part t r o p en vrille, ca l'agace - Il comprend aussi que Ophélie en sait peut être plus que lui, il tente de l'interroger encore et encore : notamment sur cette histoire d'autre possible personne dans le même état que l'homme qui a déboulé dans le hall : ca le fait tiquer mais il a besoin de savoir - pour malgré tout ne pas perdre complètement la face, il va quand même dans le sens dans sa collègue au final et conseil de en effet, fouiller les lieux.
L'adulte est bien ennuyant, il ne danse pas, pas de backflip non plus, ce n'est pas un spectacle Wendy elle comprend maintenant alors qu'on vient l'attraper sauvagement. Elle lance une moue terrible au milicien qui vient ternir son jeu avant de se faire balader ou plutôt balancer dans les bras de deux femmes qui faisaient parti du groupe avec Hector.
Wendy rumine mais ne dit rien, il y a quelque chose qui bat vite dans son corps, ses poches sont toujours pleines de trésor. Elle se tait pour une bonne raison, lance même un sourire mielleux aux miliciennes.
Mais la présentatrice n'a pas fini elle, elle a des choses à dire tandis que le monde est évacué et le pauvre homme toujours autant paumé.
Wendy réfléchi, elle roule même des yeux quand l'autre scientifique semble vouloir atténuer la panique ambiante. Il n'y a rien de mieux qu'un gros mystère à élucider pourquoi vouloir faire comme si de rien n'était ? Un truc d'adulte encore de vouloir tout minimiser, elle ne l'écoute même pas jusqu'au bout.
Non Wendy réfléchi, l'amnésie, c'est sûrement un effet secondaire. Dans un éclair de génie Wendy ouvre grand la bouche, puis, la referme. Non elle ne peut rien dire, on va lui voler sinon, il faut qu'elle la joue fine. Elle pense à Alexis, pour elle, oui, pour toustes celleux qui en ont besoin, il faut qu'elle aille au bout de cette histoire, qu'elle pille ce savoir.
Comme on dit jamais un sans deux et deux sans trois et trois sans euh, quatre, enfin, vous voyez le genre, il doit y en avoir d'autre ! c'est un rat de laboratoire j'ai compris ! honnêtement il est pas très intéressant mais les autres pauvres petits rats on peut pas les laisser dans cette situation, allons les sauver Aurélie ! N'est-ce pas tout le monde ??? on va pas laisser Aurélie y aller toute seule quant même !
Et la voilà qui tend une main à Ophélie, Wendy se sent tout à fait sournoise d'utiliser cette opportunité pour peut-être trouver enfin la potion et la voler. Oh elle est sûr que son liquide serait d'argent et qu'elle brillerait même dans le noir !
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Résumé : -vénère de s'être fait taclée et jetée comme une poupée -elle a décidé qu'Apollo est nul -approuve d'aller chercher dans le centre, par contre elle a déjà oublié le prénom d'ophélie -en réalité Wendy elle croit que le centre a la potion pour rajeunir et que c'est pour ça les cobaye et l'amnésie et tout et elle veut la voler
(c) opalescence
Wendy Fabre
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Mer 2 Nov - 13:43
Le Brouillard du Savoir
Centre de Recherche
24/10/98
Dans le chaos général, j'observe la jeune fille qui avait pris la parole s'approcher. Elle a l'air de faire de son mieux pour se montrer apaisante. Je me tends. Elle a peut-être l'air de savoir ce qu'elle fait, mais on ne sait pas si l'homme est dangereux ou non, et il est hors de question que quelqu'un soit blessé si j'ai mon mot à dire. J'observe l'interaction, sur mes gardes. Attentive. Un peu peinée pour l'homme qui semble si perdu, agressé par une adolescente, en plus de ça.
Un léger mouvement de recul en entendant ma collègue m'adresser la parole. Pas que je ne l'aie pas entendue arriver, simplement je ne suis pas habituée à ce que l'on me parle lorsque je ne suis pas en poste. J'ouvre la bouche pour lui répondre que je pense qu'en effet, ça a l'air d'être du sérieux, lorsqu'un grand homme en uniforme que tout milicien qui se respecte identifiera comme étant Roland Garcia prend la parole. J'envisage de saluer. Me retiens. « On ne salue pas en civil, Lily. » C'est vrai.
Je m'offusque intérieurement du langage utilisé par mon supérieur, mais n'en laisse rien paraître, professionnelle contrairement à lui. « A vos ordres, » dis-je en attrapant maladroitement la jeune fille surexcitée. Bon toutou, répond la voix. Je me maudis de lui avoir cédé lorsqu'elle me poussait à venir explorer l'évènement.
De près, il est beaucoup plus difficile de donner un âge à la gamine. Elle a bien l'air d'être adolescente, mais son expression et son regard lui donnent plus l'air d'une grande fille. Les yeux de petite fille en particulier me rappellent de mauvais souvenirs et me mettent mal à l'aise. Avant d'avoir le temps d'y penser, mon attention, comme celle de tous.tes, est attirée par la voix du milicien. Il est rare de voir un homme de sa taille et de son grade blêmir et perdre ses moyens en public. La situation doit être pire que je ne le pensais. Impression confirmée quelques instants plus tard. Mes sourcils se froncent. Quelque chose ne tourne décidément pas rond.
Ma collègue et moi sommes interpellées par la scientifique, Ophélie. Note pour moi-même : demander leurs noms aux autres. Je suis piquée par la façon dont elle parle des miliciens. Peu importe leurs capacités, ils sont tout de même mes collègues. Je m'apprête à lui refuser mon aide, par principe, mais sa remarque suivante me fait hésiter. Les mots du scientifique qui l'accompagne finissent de me convaincre. Il faut tirer cette histoire au clair, et le plus vite sera le mieux. Les yeux se lèvent au ciel.
« Soit. Je veux bien vous aider. » Un regard alentours, je réprime un soupir supérieurexaspéré. « Mais on ne va pas aller bien loin si on reste au beau milieu de la pièce et qu'on se fait repérer. Si les directives sont d'évacuer, miliciennes ou non, nous seront tous évacués. Ophélie, vous semblez la plus à même à nous guider, je propose que vous nous orientiez, vous et votre collègue. »
Je me tourne vers les deux adolescents.
« Vous ne voulez pas évacuer aussi, retrouver vos parents et laisser les adultes gérer la situation ? »
(c) opalescence
Résumé : - Lily observe tout, est attentive aux détails de la situation - Elle a un peu pitié d'Andrew le pauvre - Elle trouve tout le monde stupide et les juge - Elle finit par accepter d'aider mais elle ne veut pas prendre la responsabilité des enfants
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Hector V. Roussos
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Mer 2 Nov - 17:34
don't ever
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if I'm breathin' Racin' to the moonlight and I'm speedin' I'm headed to the stars, ready to go far I'm star walkin'
Le regard piégé entre les silhouettes qui s'ébrouent et s'élancent, les talons raflent le sol sans vergogne. Si la journée avait pu se finir sur une note plus légère, il aurait accepté plus ouvertement que ça. Les plus grands prennent la parole, un torrent abrupt et dégueulasse qui s'enlise dans un coin du crâne, ça ne sort plus et ça stagne. Les souvenirs s'émeuvent soudainement, le vermeil incandescent et les lèvres qui se délient. Comme un déjà-vu, Wendy qui n'a de cesse de s'agiter et Hector qui active le pas juste derrière, au cas-où, comme ça. Les arcs par dessus les orbites se tordent. Hector entend tout. Les oreilles sifflent et ça le ferait presque rire que les adultes s'étonnent des secrets éparpillés comme des cadeaux du Carnaval. La paume claque violemment dans celle de la petite rose turbulente, étreint les phalanges dans un étau indéfectible et il recule de quelques pas de la jeune scientifique devant. T'es plus maligne que t'en as l'air, c'est bien.
Il y a l'odeur fragile dans l'air, celle de la peur et de l'inconstance, alors sans rien dire de plus le garçon écoute les mots tranchés de l'homme, les questions qui n'ont de cesse d'affluer et les gens qui le pressent. Vous gérez si bien la situation que ce serait dommage de ne pas assister à la chute. Le sourire s'élargit, la mâchoire se resserre et le regard macère dans celui de la milicienne jusqu'à se tourner vers Ophélie Aurélie, le menton qui se soulève pour pointer du doigt le type dans un miteux état. Alors, on regarde. Vous allez faire quoi ? Hector regarde à nouveau celle dont la chevelure se démarque aisément ainsi que la blonde à ses côtés, les ongles qui râclent sans même le vouloir la chair molle qui se trouve dessous -Wendy dont il aurait presque oublié l'existence entre ses doigts.
Résumé : -Hector se fait des ennemis -Il chope aussi Wendy par la paluche pour pas qu'elle fasse n'importe quoi -Dsl lily et violette vous êtes ses némésis
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Hector V. Roussos
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Mer 2 Nov - 22:23
Du bruit, que du bruit autour de ce pauvre homme, déboussolé. Une femme lui parlait doucement. De façon accueillante, rassurante. De ce fait, l’homme se mit à parler doucement. Bien que l’un des hauts gradés de la milice arrivé passant devant eux, stoppant la danse de l’adolescente. La situation était de plus en plus étrange, visiblement l’homme était connu de la milice vu qu’il était milicien. Un milicien disparu, enfin, elle est sortie de ses pensées, lorsque que la gamine fut balancée sur eux. Et il reçut l’ordre de la surveiller et aussi son acolyte. Elle n’eut pas le temps de répliquer quelque chose qu’il s’en va avec l’homme. Celui-ci parla, un fragment de sa mémoire lui revint, comme quoi il était déjà venu ici. Violette, pouvait entendre quelque débris de conversation entre la jeune femme, l’homme au cheveux blanc et Ophélie. Comme quoi l’homme était sur les registres. Il y avait une entourloupe au niveau du centre. La disparition de milicien, de plus cela n'était pas rendu public, est-ce que tout était de mèche. Sachant que la plupart n’étaient pas nets. Elle regarde les deux gosses, car oui ça reste des gosses même s'ils sont adolescents. Elle finit par soupirer, car elle ne voulait pas les surveiller et elle était sûre que leur parent n’était pas présent. S’approchant d'Ophélie.
- C’est quoi cette histoire de milicien disparu et le centre ?
La regardant, une histoire de cobaye, des miliciens qu'on veut faire taire pour certaines choses. Faut savoir déjà le grade de cette Andrew, et se renseigner sur combien de miliciens on disparut subitement. Ça sent vraiment l’entourloupe.
- Ophélie, tu serais, nous conduirais au registre où tu aurais vu le nom d’Andrew
D’un côté faudrait mettre cet homme à l'habit, ne sachant pas si la milice va le sauver au non. On ne sait pas le fin mot de ce complot, une bien sombre histoire qui risque d’être révélée au grand jour.
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