Caractère
Mortimer, un sourire pour la vie ;
Mortimer, les mains de sang dans la nuit.
La froide escalade de la violence comme un cauchemar qui s’annonce ; dénonce. Mortimer un jour de pluie à simplement regarder l’oubli, se perdre dans les roses du jardins ployant sous le torrent.  Fasciné par la boîte aux lettres tout juste repeinte et la jolie barrière en bois construite par le voisin.

Mortimer c’est cette douce agonie quand viennent les ennuis.
Mortimer c’est le cauchemar des parieurs, un esprit trompeur.
Mortimer c’est cette flaque carmine après les affaires, comme un monde de travers.
Mortimer c’est l’amour sincère et les tripes à l’air.
Le chasseur fusil à l’épaule, tout concentré quand vient la faucheuse car c’est une vieille amie, la meilleure pour la vie.

Mortimer c’est la loi du pardon, celle qui dit :
Paye tes dettes et tout ira bien.
                                         Demande grâce et personne n’en saura rien.


                        Les articulations craquent il est temps d’aller travailler, sourire aux petits vieux et conduire une heure ou deux. Dépasser les forêts, dépasser les montagnes. S’enfoncer dans la neige et laisser derrière eux la mer.
Mortimer aime son travail ; Mortimer s'épanouit dans la beauté des paysages et l’annonce du voyage.
                       Les articulations craque il est temps d’aller travailler, sangler les lames et s’acharner une heure ou deux. Demander pourquoi, demander paiement et compensation. Briser la chair et briser les os, laisser derrière lui le gémissement du gâchis.
Morty aime son travail ; Morty s'épanouit dans une batte fracassée et le sang déversé.

Amour amour comme une promesse de guerre, une déclaration amère. Roule contre sa langue en surnoms suaves et caresses éphémères car Mortimer l’a trouvé un jour et ne l’a plus jamais lâché comme un diable accroché à ses pieds ;
Valeryanne,
sa femme.
Promis à la vie à la mort, un jour de paix doux comme un baiser. Entre deux jobs une promesse, entre deux rages une victoire.
Douceur un peu maladroite car Mortimer confond les lessives, Mortimer ne taille pas bien la haie, Mortimer a dépassé en peignant la boîte au lettre et Mortimer ne sait jamais assortir la nappe et les couverts.
Mortimer ne noue pas bien sa cravate, oublie de pendre son beau costume dans le dressing.
Mais Valeryianne sait tout faire oui, Valeryanne est un ange tombé du ciel et l’homme a les compliments en bouche et les rires qui débordent. Il aime bien sa vie Morty, la place dans la normalité du monde : le sang sur les mains comme une tâche d’orange sur la nappe, on nettoie en souriant, en sifflotant. Ça part en frottant, un peu comme le temps.

Les mains poisseuses de sang à nettoyer avant qu’elle n’arrive,
Le cœur froid à réchauffer avant qu’elle ne l’étreigne,
Le beau sourire qui parfois se perd.
Il faut ranger les lames, ranger les drames ; laisser son impassibilité et la mort dans la rue d’à côté.
Mortimer est un mari exemplaire, Mortimer est un bourreau qui sait faire.


Il a courbé l’échine en souriant, s’est dit assez fou pour suivre Désiré jusqu’où il le voudrait.
Mais Morty parfois ne sait pas ne sait plus, qui traîne ses chaînes qui s'emmêle les pieds qui tombe et s’écorche les veines ;




Mortimer c’est l’héritier qui ne l’est pas, celui qui gronde dans le dos quand on ose trop regarder, s’attarder. Loyauté exécrable comme une peau de bête un peu trop vieille. Il est trois pas derrière, Mortimer, il l’a voulu il l’a accepté trois secondes après être né.
Le gardien qui rugit et l’ombre qui mord, il délaisse le succès les femmes et les montagnes d’or car au fond l’homme n’a pour rêve que la belle façade de la maison achetée, le salon tout bien décoré. Les plantes aux fenêtres et les lourds rideaux bordeaux. La belle maison des dessin-animés et la famille parfaite des films de son enfance. Valeryanne a son bras et il se dit que l’or c’est ça.



(fun) facts

souriant au quotidien, se force généralement à être amicale - n’aime finalement pas grand monde, hypocrite level 100 - parait extrêmement sociable au quotidien mais ne l’est en réalité pas du tout - tout pour sa femme, il donne des surnoms mielleux et se plierait en quatre pour elle - très joueur aussi bien dans sa vie de tous les jours qu’en endossant sa casquette de bourreau - dans ce dernier cas, il fait alors probablement un peu peur - nul au golf (probablement car il y met une très mauvaise volonté) - claustrophobe - Très bonne vision contrairement à son frère, il rate rarement un tire - chasse depuis ses 11 ans avec son père, s’enfonce maintenant seul dans les montagnes pour ramener un peu de gibier - un peu maladroit et pas forcément doué avec ses mains sauf quand il s’agit de dépecer une bête, tenir une arme ou frapper là où il faut - il coupe de ce fait très bien les légumes et joue comme un pro au baseball - vrai cordon bleu - il a souvent les mains et les pieds glacés, pas cool quand il se blottie contre sa femme sous la couette - si ça ne tenait qu’à lui il s’habillerait n’importe comment et jetterait tous ses beaux costumes à la poubelle - mais comme sa femme adore le voir avec de beaux vêtements, il les met dans un sourire un peu crispé - adepte de la bonne nourriture, il a un palais très difficile - peu passer des heures à nettoyer son fusil de chasse et ses poignards - possède également quelques autres armes cachés sous le lit - presque jamais nerveux ou stressé, il contrôle parfaitement bien ses émotions (sauf la colère, jamais la colère) - ultra frileux, un comble pour un chasseur des montagne mais caïman oblige - de base bordélique mais la vie de marié lui a appris à bien ranger ses chaussures et à tout remettre à la même place (il le fait maintenant naturellement et reprend même les gens) - n’aime pas trop les gros mots, il considère qu’on est toujours plus élégant avec de belles phrases et un sourire - fume comme un pompier, a essayé de nombreuse fois d’arrêter, sans succès - place sa famille avant tout - déteste ses voisins, mais il semblerait que malheureusement sa femme les adore - a parfois des crises de colère assez violente lorsqu’il est face à des inconnus (évite de montrer ça à ses proches) - cruellement impassible face aux malheur des autres - très protecteur, particulièrement envers sa femme et son frère - adore les enfants mais refuse catégoriquement d’en avoir car il est hors de question de partager sa femme avec un bébé qui pleure - adore organiser des barbecues avec les voisins qu’il déteste, ça lui permet de s’entraîner à sourire amicalement et ça lui change les idées, c’est un peu comme un spectacle de cirque - se fiche pas mal de la réincarnation des âmes, il n’a jamais prié de sa vie et on ne le lui a jamais appris - sait différencier toutes les races de papillon - très bon perdant aux jeux de carte ou de société, il a appris dès son plus jeune âge à se sacrifier pour laisser gagner son frère - s'assoit n’importe comment dans les fauteuil quand personne ne regarde ou qu’il est seulement avec ses proches - dort peu, bouge beaucoup la nuit, parfois somnambule - sa femme l’a déjà surpris en train d’armer le fusil alors qu’il était endormi - elle le lui a confisqué toute la semaine - adore faire des bonhommes de neige même à 35 ans - aime se surpasser, il adore les challenges et les nouvelles expériences - plus ça a l’air dangereux, plus il sera heureux - aucune fibre artistique mais il considère que les flaques de sang font parfois de jolies arabesques et que l’art, ça doit ressembler à ça - très observateur, ça l’amuse d’essayer de deviner les faiblesses de chacun - et bien souvent de les utiliser à son avantage - très bon quand il s’agit de miser sur un combattant de la fosse, il se trompe rarement - se fait donc plein de thune et plein d’ennemis en plus - aime bien narguer les gens - n’échangerait sa vie pour rien au monde, il est bien dans sa peau recouverte d’hemoglobine, bien dans sa tête si peu civilisée - sait très bien garder les secrets - fait des exercices de respirations quand il sent qu’il va exploser. Ca marche quasiment à tous les coups - animal à sang froid, il doit réguler sa température. Il a appris à se maitriser mais il lui arrive de se retrouver léthargique en pleine partie de chasse - adore les bains de soleil - pense que chaque chose a son utilité dans la vie : les grosses bêtes mangent les petites et les petites se laissent dévorer - sous-estime les proies - s’est mis au jardinage pour pouvoir trouver une excuse au sang parfois incrusté sous ses ongles - il est nul pour faire pousser les plantes mais l’excuse marche parfaitement - maintenant en plus de casser des jambes il martyrise les pauvres fleurs.

Détails physiques
1m88 - cheveux ébène mi-longs qui partent dans tous les sens alors il les coiffe généralement en arrière ou en chignon - yeux aussi sombre que les ombres, souvent plissés par les faux sourire - lorsqu’il sourit sincèrement, ils brillent d’un éclat joueur - assez pâle malgré les journés passées dehors à chasser - assez musclé mais préfère les vêtements amples alors ça ne se voit pas toujours - doigts longs et fins, mains calleuses - cicatrice sous l’œil droit reçu lorsque son père lui apprenait à armer un fusil, le coup est parti tout seul et le daron en a pleuré de rire sur le lit d'hôpital jusqu’à ce qu’une infirmière le vire - autres cicatrices principalement aux mains, dues à la chasse et à son travail de bourreau - devrait porter des gants, on le lui répète tout le temps mais ça le gêne pour travailler - impact de balle à l’épaule gauche, longue cicatrice au biceps droit - vêtements généralement sombres, sauf lorsque sa femme s’en mêle pour ajouter une touche de couleur - il a donc parfois une cravate jaune et la porte avec fierté ou embarras selon les situations - il sent la neige et le bois humide quand ce n’est pas le pêché et l’hémoglobine - laisse souvent un peu pousser sa barbe quelques jours avant de tout raser (souvent pour cacher les bleus sur sa mâchoire, vestige de combats) - aux premières impressions on le trouve généralement amical - les gens se rendent vite compte de l’erreur lorsqu’il le croise en tant que bourreau - pour les autres, il reste le parfait voisin dont tous pourraient rêver

Blood and Love

Un voisin naïf.
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Un braillement pour pousser son premier souffle, deux bambins qui gigotent emmaillotés côte à côte, se donnent des petits coups de pied. Mortimer en est persuadé, le sait au plus profond de son âme de ses tripes de son cœur et de son instinct fraternel.
Il a fait exprès d’arriver en second. Une fois la surprise passée, les premiers éclats délivrés. Il a dit « après toi » dans une révérence élégante et a attendu son heure.
Voilà vous avez votre héritier.
Désiré à tout englouti ; la vie, le monde, les femmes et les bas-fonds. L’Hôtel, les employés et un cœur ébréché.
Mortimer s’est dit qu’il n’avait besoin de rien si ce n’est une arme à la main.
Mortimer s’est dit qu’il voulait être une ombre, son frère le tonnerre. Il voulait briser les règles briser les jambes, suivre les pas et se contenter de ça.
Il n’a pas les ambitions folles non Mortimer gratte le sang sous les ongles et soupire de contentement.
Si son frère veut alors il aura.
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Le fusil calé contre l’épaule. Expiration, inspiration. La détonation résonne dans l’immensité désertique, résonne contre les roches du Mont Hurleur et fait vibrer la neige comme la mélodie de l’oubli. Les yeux grands ouvert par l’effroi,
a 11 ans Mortimer vient de tuer son premier chamois.
Rire de fierté du paternel dans son dos, une tape affectueuse sur la tête.
Mortimer ferme les yeux et finit par sourire, remet le fusil en place.
Encore.
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Le monde vibre le monde tangue ; Mortimer bien calé sur ses pieds, les poings ensanglantés. Le souffle court, il s’est un peu emballé, laissé dominer par la colère. Ca ne lui ressemble pas non Mortimer de fer Mortimer d’acier. Mais parfois parfois il n’arrête pas la mèche à temps, se laisse emporter par le torrent. Parfois parfois c’est la rage qui parle et les poings qui s’acharnent.
Parfois parfois il se laisse aller, dériver ;
se rappelle alors qu’il n’a pas le droit ;
car alors lui, qui l’arrêtera ?

Non non Morty c’est le rempart avant la mort, le barrage avant l’ardeur. Le doux sourire qui promet les amours les déchéances le nez cassé et la peau déchirée.
S’approche un peu du caïd pleurnichant à ses pieds, retrouve son beau sourire, ses yeux plissés dans une douceur feinte, un poison dans les veines.
Touche le encore et tu meurs.
Tire les cheveux emmêlés de sueur dans une douceur trompeuse, fixe les yeux terrifiés sans plus jamais les lâcher.

Touche le encore,
et tu meurs.

Il faut parfois répéter deux fois avec ces imbéciles illettrés, leur faire rentrer dans la tête que la famille c’est sacrée. Que la faucheuse n’est pas qu’une araignée et qu’un baiser peut tuer. Que le sang sèche mais pas la haine, pas la colère, pas les promesses d’un Chanteloup enfiévré. Que se moquer des faibles est plus que fascinant,
mais que personne ne joue dans la même cours que Désiré Chanteloup.
Personne.
Satisfait, il se redresse en souriant. Le prochain cours va commencer et Mortimer a déjà été puni pour assez de retard pour toute une vie. Un regard sur ses mains ensanglantées et il ne sait pas quoi faire, une hésitation. Il va falloir laver tout ça ou son frère se doutera de quelque chose.

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Un baiser sous les palmiers, le sable chaud sous les mains crispées de nervosité.
Valeryanne est un bout de son cœur, un morceau de son âme.
Valeryanne est l’amour de sa vie voilà c’est écrit.
Mains dans la mains il sourit amoureusement
Encore aujourd’hui ne sait pas lui sourire autrement.
De blanc vêtus comme pour défier la mort, Mortimer a juré ne pas pleurer pour son mariage Mortimer a juré ne pas craquer. Menteur.
Mortimer a cassé une mâchoire avant de venir devant le temple, cache tranquillement ses phalanges meurtries dans sa manche de soie douce.
Il sourit car n’est-il pas le meilleur des maris ?
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Plonge les mains dans les entrailles, éclabousse de sang sa chemise aux manches pourtant remontées. Oh Valeryanne ne sera pas contente non, Valeryanne n’aime pas les tâches. Le sang répandu comme une rivière qui s’achève, il a l’habitude Mortimer, il fait ça comme on repasserait le linge, changerait une ampoule.
Le cœur arraché et mis de côté. Les tripes écartées, bientôt rejetées. Petite biche aux yeux vides a qui Mortimer tapote gentiment la tête.
Brave bête.
Il revendra la chair ou s’en servira pour le barbecue du dimanche. Il arrachera la peau, s’en fera de nouvelles bottes pour l’hiver, suivant les conseils de son père donnés des années plus tôt. Ici rien ne se perd Mortimer est un peu chasseur un peu trappeur. Il a le fusil mainte fois nettoyé pendant à l’épaule et le sourire de l’homme satisfait de sa journée. Il a les doigts glacés et les mains sanglantes comme un monstre du nord qui jamais ne dort.
La bête vidée viendra mollement pendre contre son dos,
ils mangeront bien ce soir,
Mortimer a encore oublié de se nettoyer les mains,
et Valeryanne ne sera pas contente non.
Un regard pour le voisin en passant devant sa cour.
Bonjour au revoir merci bonsoir.
Mortimer grimace, il déteste ses voisins.

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Mortimer tient fermement la barre de fer, levée comme une promesse d’enfer.
Une supplique et un gargouillis, Mortimer a toujours du mal à comprendre quand il manque quelques dents. C’est un travail comme un autre ; comme faire pousser les fleurs ou broder des couleurs. Le pâtissier saupoudre la farine, Mortimer répand les coups. Un os crac et le voilà qui grimace un peu. Ce n’est jamais le meilleur moment. Suivre Désiré sur le chemin des enfers ne lui a pas pris plus d’une seconde d’hésitation ; il a dit oui devant l’autel, oui face à la haine. Oui oui oui oui oui Désiré ou tu voudras quand tu voudras car on n’est jamais mieux servi que par soi-même et si tu plonges je plonge aussi et si tu souffres alors eux aussi.
La barre s’abat une nouvelle fois. crac
Il doit se dépêcher ou il sera en retard pour le souper.
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Mortimer frotte le sang sur ses mains, il oublie trop souvent, ce soir fera attention. Maudit son pantalon taché, ça l’embête de le mettre ainsi dans la machine à laver. A quelques mètres de là l’autre homme gémit comme un enfant et promet ne pas recommencer,
Jamais jamais.
Mais ils disent tous ça alors Morty n’écoute pas Morty n’écoute plus.
Il achètera des fleurs pour sa femme sur le chemin du retour.
Dis à ton patron que c’était une erreur, je ne recommencerais plus !
C’est toujours une erreur.
Ils recommencent tous un jour.
Oui, il achètera des roses ou une orchidée.

Dis au bookmaker que je trouverai un moyen de le rembourser !

Ou des tulipes, Valéryenne adore les tulipes.
Mortimer finit par sourire car il sourit toujours quand on approche de la fin.
Un dernier coup dans le tibias, le cri de douleur résonne dans l’appartement miteux de cet homme trop cupide.
Ça sera les tulipes.
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Un mauvais joueur.


Résumé

- Naissance des jumeaux Chanteloup, Morty arrive en second après Désiré, a volontier tout délaissé à son frère.
- Assez doué à l’école, il passe pourtant son temps en heure de colle, puni pour ses colères et ses retards. Pour avoir fait saigner un camarade de classe, cassé le nez de plus grand que lui. Pour avoir tenté de protéger son frère car personne ne se moque de lui et de ses problèmes de santé tant qu’il sera là.
- Conducteur de navette car il n’a pas envie de se casser la tête avec des études, ça l'ennuie. Il passe également la plupart de son temps à chasser, se perdre dans la montagne.
- Traîne dans des affaires louches, ça fait passer le temps, ça le rend vivant. A souvent suivi son frère jusqu’à la fosse sans jamais participer à un combat. Ce n’est pas son truc, Morty préfère examiner, relever les faiblesses et parier dans un sourire amusé, certain de gagner.
- Rencontre Valeryanne, ils se marient 3 ans après et achètent une jolie maison en périphérie d’Arc-en-terre. Il est souvent en vadrouille au 4 coins de l’île à cause de son travail.
- Répare les galères de son frère, nettoie les cadavres derrière. Désiré est bookmaker et Morty le suivra jusqu’au bout. Au fond ça l’arrange, ça le sort de sa routine monotone qu’il a pourtant toujours recherchée (Morty veut la paix et la stabilité mais Morty ne s'épanouit que dans la guerre et le danger).
- Jongle avec ses deux métiers, sa petite vie de marié et le fusil visant la proie.
- Et il est très bien comme ça.