Tu étais là à attendre quelque chose Ou plutôt une personne Oui, c'est Caspian Son corps qui est contre un mur Son visage qui se valse de droite à gauche. Il n'attend que ça. Le revoir Parce que oui tu lui manques Terriblement Même à papou tu lui manques N'est-ce pas étrange me dirais-tu Pourtant c'est la pure vérité Où es-tu bon sang ...
Son regard qui s'assombrit d'un coup car il te voit au loin Un sourire aux lèvres Quelle honte, pourquoi me fais-tu ça ? Alors sans plus attendre Johann s'avance vers lui ; les mains dans les poches, ses pas sont très silencieux mais son aura maléfique le suit partout La rage qui se dégage de son corps est incontrôlable
Attention On te regarde, reprend toi en main ... Un sourire qui se force d'apparaître sur ses stupides lèvres puis ses mains qui sortent de ses poches Il t'attrape par les épaules te forçant ainsi à te retourner ; sourire tendre aux lèvres
- Comme on se retrouve Caspian
Ses yeux te fixent Son sourire toujours aussi lumineux Il veut faire bonne impression auprès de son frère Après tout la famille c'est le plus important Non .. ?
- Quand viendras-tu nous faire un petit coucou ? Tu manques terriblement à papa ..
Il ne faut pas grand-chose pour achever sa journée, noircir les pensées. Rien qu’une miette du passé, nostalgie délaissée. Dans l’uniforme charbon (tel un démon) le fennec a le sourire plaqué aux les lèvres, l’envie de rire ; vivre. Oh comme il en faut peux, une tignasse aussi blonde que sa propre chevelure, des iris aussi pâles que les siennes sont sombres. Une horrible présence, celle des matins glacials et tranchantes lames contre la gorge. Celle des faux semblants, grand sourire pour mieux frapper. Il ne l’a pas vu venir Caspian, trop occupé par ses agréables pensées. Il n’a pas vu venir le monstre, n’a pas senti le souffle chaud contre son dos avant qu’il ne soit trop tard ; que les grands lions dévorent les petits prédateurs. Se crispe dans un élan de fuite ; mais non jamais jamais plus ne pliera devant lui Devant eux. Il les maudit en pensées, en rêve, en cauchemars. Les déchirerait volontiers pour limiter les malheurs (les pleurs). Mais Caspian a le passé qui lui colle à la peau comme une maudite sangsue, un frère qui n’est pas prêt à abandonner. Lui qui lui tourne pourtant le dos. D’un geste instinctif, il repousse les mains, se met sur ses gardes. Johann… « Johann… » Un mot presque craché et ah n’est-il pas pourtant resplendissant aujourd’hui ? Comme toujours comme chaque putain de jour de son existence. Leur existence. Johann johann johann voilà là un nom à arracher de force, lacérer de jalousie.
Mais Caspian ne sourit plus non, l’autre sourit pour mille (ah il en vomirait presque). « Jamais. Fous-moi la paix. » Trop sec. Trop sévère et sans une once de culpabilité, ils l’ont tous bien mérité. « Pas la peine de me tenter avec tes belles paroles, à qui espères-tu faire croire ça ? Je lui manque ? Je te manque peut-être ? Ben voyons ! »
Il ricane, secoue la tête. Remettre un pied à la maison, jamais de la vie. La discussion est terminée, Caspian n’a plus rien à donner ; une petite tape faussement amicale sur l’épaule de son petit frère exemplaire et le voilà qui se détourne déjà. Jamais jamais jamais.
(c) opalescence
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Caspian Matkovic
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Sam 4 Déc - 20:52
feat Caspian
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Un regard sincère Remplit de tendresse et de douceur Mais Que racontes-tu toi ? Où vois-tu de la tendresse Cette chose n'est rien d'un ange Loin de là Caspian est bien au courant de son vrai visage Un monstre C'est assez étrange qu'un monstre sourit ... Ne trouves-tu pas ? Pourtant difficilement ses lèvres s'élargissent
Il le repousse Des frissons Depuis quand es-tu si agressif Ah ... Sans doute depuis T o u j o u r s Quelle douleur, son sourire si lumineux se transforme en une moue triste Pourquoi lui fais-tu subir cette douleur
Son ton sec, ses gestes agressifs Tout se mélange Ses battements de cœur Ils s'accélèrent
- Pourtant .. Tu manques bien à quelqu'un et tu le sais pertinemment, c'est même une évidence
Pour Johann s'en est une Pour lui Certainement pas Comme un vide qui se creuse entre les deux frères Il s'approche de lui Il ne souhaite pas que le contact se rompt aussi rapidement S'il te plait Ne le fait pas
- Caspian quand vas-tu arrêter d'être en colère contre moi
Sa voix devient douce Attention il s'approche encore plus de toi De ton visage Il te regarde dans les yeux
- J'ai juste suivi les ordres de papa .. Comme toi il me semble non ?
Ton ricanement si soudain Lui donne un sourire Amuse-toi Mais Avec Johann
Le sourire du chat face à la proie ; mainte fois vu, mainte fois esquivé dans une sourde colère. Au détour d’un couloir. A l’entrée d’une chambre. Accosté dans le coin du salon. Johann Johann Johann trop de mauvais souvenirs, trop d’épines acérées. Oh comme il prie chaque jour Caspian, pour ne plus à subir pareil tourment. Le frère qui n’en ait plus un car ; le son des morts, il a enterré ses liens enterré ces yeux cristal trop souvent témoins de sa propre incompétence. Du fennec qui n’était pas lion. La famille six pieds sous terre voilà là ce qu’il en pense Caspian ; rêve de gloire rêve de grandeur. Mais loin des siens, surtout loin des siens. Beurk. Qu’on lui fiche donc la paix. Trop lasse de ces sourires hypocrites, cette fausse douceur car Johann n’est pas doux, pas même pour un gramme, une seconde (oh l’éternité passé à vouloir un frère ! Il aurait mieux fallu se taire). Alors Johann oui, il le repoussera bien jusqu’au bout du monde s’il en avait la force mais Caspian ne peut rien, rien face au caractère collant (exécrable) de celui qu’il a un jour appelé frère ; avant que le grand félin ne leur mette une épée dans les mains.
Un rire narquois, comment pourrait-il y croire une seconde ?
« Oh vraiment ? La dernière fois que je l’ai vu, il m’a dit de dégager de sa maison. »
Mais si Caspian manquait effectivement à quelqu’un, ne serait-ce pas sa mère ? Ah le milicien ne laissera pas sa voix se briser sur quelques questions futiles. Car il sait oh il sait, que jamais jamais sa propre mère trouverait le courage de se dresser contre les grands lions. Et jamais jamais Caspian n’avouerait que peut-être, elle lui manquait. Et c’était bien la seule. Mais Johann ne parle pas d’elle évidemment. De son sourire trop grand pour être vrai (tout a-t-il toujours était faux ?).
Un pas en arrière. Caspian n’est pas en colère non Caspian est furieux. Nauséeux. « Et tu adores, me voir comme ça n’est-ce pas ? » Poings crispés le voilà qui bouillonne et ça l’enrage oui, ça l’enrage de voir ce petit blondinet parvenir encore et encore à faire jaillir les démons. N’était-il pas en paix quelques secondes plus tôt ? Et les mots de trop. Papa papa papa. Peut-être n’aurait-il pas du Caspian, attraper le beau col si joliment repassé de son petit frère. L’approcher plus près encore plus près (ah cette sourde envie de s’en éloigner) ; presque jusqu’à coller les nez.
« J’ai peut-être suivi les ordres un temps, mais le petit toutou de papa ici, ce n’est pas moi. »
Tout froid tout en glace (qui brûle brûle les doigts) car c’est qu’il ne vaut mieux pas trop s’attarder sur ce terrain.
(c) opalescence
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Caspian Matkovic
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Mar 14 Déc - 18:25
feat Caspian
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Un sourire si doux Et pourtant si faux Dans ce genre de moment tu sembles ne pas pouvoir t'en empêcher Ton frère qui est là devant tes yeux Il le regarde, observe
Quelle réaction vas-tu avoir face aux mots de Johann Est-ce qu'il va pouvoir se retenir longtemps de jouer à ce jeu Ce jeu si ennuyant
Lorsqu'il s'éloigne ; Johann s'approche à nouveau vers lui Il ne supporte certainement pas la distance qu'est en train de se creuser entre les deux hommes
Johann résiste Résiste à ses sales démons
- Tu dis n'importe quoi ! Je suis vraiment venu vers toi parce que tu me manques !
Une de ses mains contre sa poitrine Voilà que maintenant il grimace Ses yeux qui brillent Comme si une larme était sur le point de couler
Vas-tu vraiment croire à son cinéma Sa main qui se frotte ; il te regarde Sans plus bouger
- Tu penses que j'ai eu le choix, tu n'avais pas les qualités que papa cherchait. J'ai tout simplement été forcé et je le suis encore aujourd'hui .. Tu es le seul qui puisse me comprendre .. Alors ..
Sa voix devient alors plus faible Ses yeux qui se ferment Il se met à pleurer
- Ne m'abandonne pas comme une vieille chaussette ..
Un silence qui s'installe entre les deux hommes Des personnes qui se mettent à les regarder La honte, la pression, l'angoisse Il ne te met pas à l'épreuve Johann te force par la pitié à ne pas le laisser Alors Le choix est entre Tes mains
Un pas en avant, dix pas en arrière. Comment fuir quand le gros chat ne fait que se rapprocher ? Caspian voudrait s’éloigner oh si loin qu’on ne le retrouvera jamais. Juste lui et Alexis sur leur archipel dorée ; imaginaire. Que le grand Johann Makovic digne héritier du père abandonne la traque et laisse le pauvre fennec en paix. Une autre pelote de laine pour le lion, serait-ce trop demandé ? Mais Caspian a beau partir, déguerpir, le mal revient à la charge ; lui arracher les espoirs. Les yeux qui brillent la main sur le cœur, Il n’y croit pas non personne n’y croit. Leur père tombe-t-il parfois dans le piège ? Et leur mère ? Ça le dégoute, le désespère. Le monde semble tourner autour du plus vicieux des anges. Non non non le jeu est indécent. Mais n’est-ce pas là son petit frère ? Le seul, l’unique, celui qu’il semble si loin et pourtant si proche ? La relation tant désirée à jamais abandonnée ; vraiment ? Caspian grimace aussi. De douleur, tout droit dans son cœur. Non non non il ne tombera pas -encore- dans le panneau.
« Et tu me dis ça maintenant, quand je pars et qu’il n’y a plus de retour en arrière. Où étais-tu quand j’avais besoin de toi ?! Où étais-tu ?! Les choses ne changent pas en un claquement de doigt. Tu ne peux pas changer pas comme ça.»
Grain de colère qui s’enflamme. Oui, où était-il quand petit Caspian cherchait une solide présence à ses côtés sans jamais plus la trouver ? Mais le fennec est faible, vacille un peu à la vue des larmes. Trop faible ou trop aimant, lui qui déteste les tourments. Ah le voilà un peu désemparé. Johann ne pleure pas non, Johann est fort, Johann est le meilleur. Johann est un lion.
Ouvre la bouche sur d’horribles paroles, la referme aussitôt pour poser une main maladroite sur la blonde chevelure de son petit frère. Hésitant. Colère toute retombée.
« Ecoute… je ne vais pas t’abandonner Johann. Nos vies prennent simplement des chemins différents, je ne veux plus être lié à papa. »
(c) opalescence
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Caspian Matkovic
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Sam 26 Mar - 19:08
feat Caspian
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Ses larmes qui coulent Ses fausses larmes Crois-tu ses tendres mots Espèce d'imbécile Pourquoi n'as-tu pas fuis quand c'était encore le moment Prisonnier Il te force à rester Johann Te prend par la pitié Il appuie là où ça fait terriblement mal - Je ... Je suis si lâche Caspian ...
Tout le monde vous regarde Il est bien au courant du cirque qu'il est en train de faire Intérieurement Tu es heureux n'est-ce pas Oh Johann Oh mon beau Johann - Tu ne peux pas me laisser comme ça Caspian ... Tout le monde fait des erreurs dans la vie tu ne penses pas ..? Les larmes qui ne cessent de couler Une grimace d'horreur qui se dessine Caspian
Ses mains tremblent Son regard devient vide Ses doigts qui se frottent contre ses yeux - Tu ne vois pas dans quel état tu ... tu .. tu me mets ... J'ai besoin de toi, tu as besoin de moi et papa ... Ta voix est toute aussi tremblante que tes mains Johann Désire te foutre plus bas que terre Toujours a-t-il une idée derrière la tête Attention Prépare-toi Car ça vient à peine de commencer
Tel un chiffon Son corps lâche Il tombe à terre Faisant mine que son état est grave Qu'il ne peut pas vivre sans toi Que tu es son unique sauveur Sauve-le De l'enfer De son enfer - S'il te plait .....
Caspian si hésitant face aux larmes, si hésitant face à la famille qu’il ne veut plus (qui le ronge pourtant comme une moisissure au vent). Johan Johan Johan qu’es-tu donc devenu, ange blond devenu démon. Le fennec voudrait continuer de hurler, taper du pied ; mais ce n’est ici pas Johan le lâche mais bel et bien Caspian.
Menteur menteur lui crie son âme. Mais et si une fois dans sa vie, l’éclat de la sincérité arrachait la bouche de son petit frère ? Larmes de crocodile oui, mais et si jamais… ?
Un regard aux alentours lui apprend que les gens s’arrêtent, intrigués. Comme un numéro de cirque ; domptons le fennec et applaudissons le lion.
Johan a raison (comme d’habitude), les erreurs toujours les erreurs. Une, deux, trois et puis mille avec le lion on ne compte plus, avec papa non plus. Il se demande Caspian, si c’est réellement possible de tromper à longueur de journée pour un jour s’excuser. Se demande si la sincérité qu’il y voit n’est pas que le fruit de son imagination (voit-t-il ce qu’il veut voir ?).
Il ne peut pas le laisser comme ça non, en pleur sur le pavé, en pleur pour quoi, pour qui ?
Un peu de panique, Caspian gêné et Caspian angoissé. Les paumes moites à se dire qu’il aurait mieux valu prendre la fuite, esquiver le problème comme il le fait à chaque fois. Brusquement, il attrape son frère par le coude, le force à se redresser.
« Oh bon sang ne pleure pas, on va discuter et arranger ça... Viens t’asseoir, tu te donnes en public. »
La voix tremble un peu il ne peut pas s’en empêcher ; il accepte la trêve d’une minute ou deux, en souvenir des deux gamins blonds qui un jour se sont tenus la main.
Attirant son frère vers un banc, il le fait asseoir avant de prendre place à ses côtés.
« Ne te mets pas dans des états comme ça Johann, je suis juste partie de la maison, je n’ai pas disparu enfin ! On travaille au même endroit !»
Petit grondement, Caspian n’aime pas voir les gens pleurer (pas même les plus horribles). Oh que Johann arrête donc ses larmes, le fennec en a le ventre noué.
(c) opalescence
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Caspian Matkovic
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Dim 3 Avr - 19:48
feat Caspian
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Un moment Où tu joues Parfaitement bien la comédie L'art de vouloir Son attention De l'avoir rien que pour lui Il aime Apprécie Savoure tendrement le moment Ses larmes si délicates Son joli visage abîmé par Le chagrin Un chagrin dont Ton frère peine à croire Est-il réel Dans ta tête oui Mais autrement Non Car Tu sais que Caspian n'est pas idiot au point de le croire
Si
Non Jouons
Ton corps qui est à terre Ton visage entre tes mains Tu lui supplies Tu te donnes en spectacle Ce dont Personne n'aimerait subir C'est si gênant Tu le sais Oh oui Johann Le sait pertinemment Il compte Un Deux Trois Quatre Cinq ...... Ton coude est saisi Par lui Ton doux visage se relève Admire les dégâts Toutes les personnes autour de vous deux Vous regarde As-tu réussi Johann
Il t'attire sur un banc Plus au moins Loin des autres Un sourire Que tu dissimules Car ton visage se retourne Tu fais mine de sécher tes larmes Restant juste quelques secondes Sans rien dire
Puis
- Je veux que tu reviennes à la maison Ainsi Ton visage Se retourne De nouveau Vers Caspian Il est neutre Tu ne peux pas savoir à quoi il pense C'est intriguant N'est-ce pas - Je suis complétement seul à la maison sans toi
Il te regarde dans les yeux Johann s'approche de toi Puis Ses mains sur tes épaules - Je ferais n'importe quoi pour que tu reviennes
Il le sait Caspian, s’en doute dans un coin de son esprit ; les fous ricanent et les démons pleurent. Johan est-il donc si horrible pour pleurer ainsi comme un enfant sur commande ? Pour le simple plaisir de voir son frère s’effondrer à la moindre larme ? Caspian trop bon, Caspian trop loyale. Deux pas en avant, trois pas en arrière et il les sentirait presque ricaner dans son dos, ces Matkovic au doux nom d’or et d’argent ; de ceux qui ne connaissent que la gloire jamais la défaite. Mais si le fennec ne veut pas perdre cette bataille, il se sent faiblir face aux larmes. Johann est un monstre, et Johann est son frère. Assis sur un banc à tenter d’arrêter les pleurs, il n’ose pourtant pas le toucher, goûter les larmes de sel du bout de ses doigts car tout chez le lion est poison, tout chez le lion est mesquinerie. Et Caspian lui baisse un peu la tête car de tous ce n’est pas le plus fou, pas le plus cruel, pas le plus fort de la famille. Juste un milicien potable dans le corps d’un petit canidé.
Secoue la tête car non non non le frère demande l’impossible. Impossible. N’est-il pas déjà revenu un jour ou deux pour l’anniversaire de leur mère ? Se forcer à sourire, se forcer à soutenir les regards. Non Caspian Matkovic n’a maintenant de Matkovic que le nom, et ses visites resteront aussi espacées que possible (pitié qu’on ne l’invite plus là-bas).
« Non. Ça je ne peux pas. »
Plante son regard dans celui de l’autre, toujours aussi larmoyant. Seul seul seul oh non Johann n’est jamais seul, il a toute sa cruauté pour lui tenir compagnie. C’est donc ainsi ? Des larmes pour le forcer à rentrer ? Faire demi-tour et tout abandonner ? Johann pleure-t-il seulement vraiment. Caspian se vexe, dégage les mains sur ses épaules d’un mouvement brusque.
« N’importe quoi ? Qu’es-tu prêt à faire pour un frère que tu détestes ? »
Il rit jaune quelques secondes avant de se reprendre. Qu’il lui dise donc oui, toutes les folies qu’il est prêt à faire pour lui. Il n’y croira pas une seule seconde.