Groupe 4.2 - le spectre du passé [event 6]

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Groupe 4.2 - le spectre du passé [event 6] Haklyone :: Ithloreas :: Les plages d'opale

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Soul Admin
Métier : Maître des âmes Lenss : 2577 Messages : 963 Date d'inscription : 06/09/2021	Jeu 23 Nov - 19:20 Le spectre du passé yadesmonstres ? #Event6#attraction#cafaitpaspeur 17h, plage d’Ithloreas, non loin des falaises édentées. Voilà déjà plusieurs heures que vous avez pu arpenter la fête foraine et les différentes animations qu’elle propose. Entre grande roue, attraction à sensation et stands de tirs, vous n’avez pas de quoi vous ennuyer, à moins que vous ne soyez simplement venu là pour profiter de la plage et tremper les pieds dans l’eau glacée. Il y a foule en ce grand jour d’ouverture et nombreux sont les animas à venir jeter de temps en temps un œil au bord de mer dans l’espoir d'apercevoir la silhouette du navire prévu la veille. Pourtant, la mer reste calme. Vos pas vous ont mené bien loin dans les plages Opales, à la limite de la zone dédiée à la fête foraine. Au-dessus de vos têtes commencent les falaises édentées ; ici et loin de la foule restent quelques attractions, mais pas des moindres. Entouré de sinistres lumières rouges et de bruits de fantômes s’étend le “Le Manoir Aye-Aye”, une attraction peut-être bien trop sous-estimée. Un petit kiosque sert de billetterie à l’entrée d’un grand manoir délabré construit contre la roche des falaises. Aucun doute ce vieux bâtiment n’a pas été monté spécialement pour l’arrivée de la fête foraine, il vous paraît ancien et abandonné là depuis de nombreuses années. S’il vous arrive régulièrement de passer dans cette zone pourtant peu fréquentée lors de vos passage à Ithloreas, il est possible que sa présence ici ne vous soit pas inconnu. Vous n’êtes pas bien nombreux à y faire la queue sous le soleil qui commence déjà à se coucher, mais pourquoi ne pas tenter l’aventure ? Un à un vous faites la queue, achetez vos billets, attendant impatiemment qu’on vous ouvre la porte de ce fameux manoir. Hrp : ◊ @Uriel kurusu @astrophèle H. melianthos @darren lockwood @Tallulah scarlet @clarence H. poingcarré bienvenue dans le groupe 4.2, c’est déjà le début de la soirée et vos persos ont déjà surement pu s’amuser un peu dans la fête foraine. Vous êtes actuellement à une extrémité de la zone dédiée à la fête foraine, proches des falaises édentées, il n’y a ici pas beaucoup de monde mais il reste bien quelques attractions un peu sinistres lorsque la nuit commence à tomber. Ce tour sert d’introduction avant le début, qui sait, des péripéties. ◊ pour cet event il n’y a pas d’ordre de passage imposé, on vous laisse gérer entre vous pour commencer. Par la suite ça serait bien de garder l’ordre que vous aurez choisi, à moins d’un empêchement pour un membre auquel cas c’est toujours mieux de ne pas bloquer tout le groupe. En cas de gros empêchement ou de grosse absence non prévue, c’est bien de prévenir le MJ, tant pis on sautera votre tour et vous rattraperez en cours de route. ◊ privilégiez les réponses COURTES (sauf pour ce post d’introduction, si vous voulez vraiment y raconter votre journée faites vous plaisir) et un petit résumé des actions de votre personnage est demandé à la fin de CHAQUE réponse. ◊ vous avez jusqu’au dimanche 26, midi heure française pour répondre avant l’intervention MJ. Si tout le monde a posté avant, il est possible que la rep MJ soit également avancée. made by MISS AMAZING. for HAKLYONE
Soul


Clarence H. Poingcarré Maison du Souffle et des Cendres
Feat : Âme : Loup noir Age : 29 Métier : Facteur Double compte : Désiré + Igor Lenss : 190 Messages : 46 Date d'inscription : 15/04/2023	Jeu 23 Nov - 23:19 EVENT VI Le spectre du passé Les lumières et les sons remplissent la tête. La tête creuse et hirsute, maman dirait sagouin, baissée sur les pompes brillantes, blanches sertie de liserés bleu océanique, une mâchoire monstrueuse pimpée au posca sur celle de droite. Inconsciemment, Clarence a déjà ralenti son souffle, naturellement il découpe les odeurs, paupières mi-closes pour se repérer au flair. Il est venu avec les copains, faire un peu de tapage en auto tamponneuse, mesuré son orgueil contre le puching ball, et puis un diabolo après l’autre, il a fini par se sentir de trop. Prétextant pisser, le voilà, mains dans les poches, la reliure du sweat hunterxhunter au-dessus des lèvres, parce qu’il y a encore son odeur dessus, qui déambule comme un badaud, négligemment esseulé dans la foule. Il ne reconnaît pas tout de suite les contours de la bicoque à flanc de falaise. Est-ce qu’il n’a pas déjà investi les lieux avec la bande plus jeune, pour picoler en jaillissant des placards, crier. Je suis mort. Menacer de se pisser dessus en entendant l’étage grincer ? Clarence plisse ses yeux, si clairs, hésitant et indécis, et son pied gratte dans le sable. Il finit par s’approcher, lorgne le kiosque, le nez en avant pour reconnaître l’odeur des mensonges puisque celle de la vérité est à jamais indétectable. Un ticket pour moi aussi. et maintenant qu’il tient dans ses mains un petit carton d’appréhension, soigneusement composté, il espère trouver une main plus petite que la sienne pour trouver le courage de passer le seuil. ft. les boutes en train ayeaye Cactus Résumé:
Clarence H. Poingcarré


Uriel Kurusu Maison de la Lune et du Sang
Feat : Âme : Requin-Baleine Métier : Milicien en arrêt maladie Double compte : Julius Renatò Lenss : 124 Messages : 75 Date d'inscription : 25/06/2023	Sam 25 Nov - 9:27 event • le spectre du passé « Je crois que je n’en avais encore jamais mangé ? » Barbe à papa à la main, Uriel sourit. C’est vrai. Il n’en avait jamais mangé. Et là, il la partage avec l’homme qu’il aime. Jamais il n’avait eu la véritable occasion de profiter d’une sortie sans se préoccuper de la sécurité des autres autour, sans se préoccuper de ce qu’il pourrait faire si évènement venait à arriver. Lui, toujours enfermé dans son rôle de milicien, ne cessait d’y penser à l’époque. Plus maintenant. Il est libre de toutes pensées et apprécie, simplement, la présence d’Astrophèle… et de quelques sucreries. Astra, sa peau brille tant, baignée des lumières de la fête foraine, parsemée des rayons du crépuscule, une étoile étincelante... Uriel réalise à quel point il est chanceux d’être là à ses côtés. Alors il prend de la barbe à papa et lui en offre, naturellement. « C’est… étrange, mais pas mauvais ! » Et il avance, avec ses béquilles qui le tiennent stable, loin de son fauteuil qui accumule maintenant quelques vêtements dans un coin de sa chambre. Il se sent fort. Il se sent… prêt. Prêt à finalement être qui il a envie d’être. Cherchant du regard quoi faire pour le reste de la soirée, après les diverses animations déjà faites et la peluche gagnée à Astrophèle au stand de tir – oh, quel plaisir de marcher avec une géante peluche en forme de poisson, comme quoi, les compétences de milicien peuvent être utiles pour gagner de superbes cadeaux -, ses yeux se portent vers un manoir. Un sourire à Astrophèle et voilà qu’ils s’y rendent. Assez tranquille semble l’endroit, donc peut-être qu’Uriel pourrait s’assoir si nécessaire, si jambes fatiguent. Ce que jamais il n’espère. « Deux billets, s’il vous plait. » J’ai envie de l’inviter pour tout. C’est ma façon… de le remercier ? Ticket tendu vers Astrophèle, il sourit. Pas un de ces sourires d’avant. Non, un sourire sincère. Un sourire aimant. Non. Amoureux. Un sourire… amoureux. résumé:
Uriel Kurusu


Astrophèle H. Melianthos Maison du Chant et des Os
Feat : Âme : Serpent Roi de Californie Métier : Prêtre Double compte : Jayson Wymer / Ephraïm Kurusu Lenss : 305 Messages : 72 Date d'inscription : 26/08/2023	Sam 25 Nov - 9:56 Perché sur mes hauts talons, long pantalon noir, cardigan en laine noire qui cascade jusqu’à mes genoux, un haut sans manches, en col roulé, d’un jaune solaire. Perles d’or, à mes oreilles, constellations de paillettes, sur mes pommettes. Les yeux d’or, glissent jusqu’à lui, sensuellement, je savoure, sa présence. Les paupières, se ferment à demi, laissent s’éterniser, son sourire sur mes papilles. Visage impassible, imperturbable, la joie autour, ne me gagne pas, mais la sienne, brûle au fond de mes entrailles. D’une main, je garde contre moi, l’énorme peluche qu’il a gagnée, un poisson presque aussi grand que moi, dont je me demande bien quoi faire. De l’autre, je tiens la barbe à papa, que j’approche de lui pour qu’il puisse s’en servir, s’il le désire. Prunelles s’éternisent sur ses lèvres, où s’étalent cristaux de sucre ; me penchant, j’en récolte quelques-uns, du bout de ma langue bifide. Prédateur, mes yeux ne lâchent pas les siens, bien que nos lèvres se séparent, sa douceur abandonnée contre mon derme, je glisse une fois de plus ma langue sur mes lippes, l’appétit à peine rassasié, mais un instant satisfait, de cet amour que je ne demande qu’à engloutir. Le manque, de sa présence, le silence et son absence, il y a besoin de combler, ce vide. _ Ce n’est que, du sucre et des colorants, de quoi ravir, les yeux et les papilles, un boost, de dopamine et de sérotonine, je me régale davantage, à le goûter sur tes lèvres que sur ce batonnet, je constate paisiblement en haussant les épaules, Garde donc les billets, mes mains sont prises. Je l’invite, mes yeux reviennent à lui. _ … Tu n’es pas obligé de tout payer. Te sens-tu encore capable de marcher ? Nous n’avons pas emmener le fauteuil, il m’a affirmé, qu’il n’en avait pas besoin – c’est plutôt, qu’il n’en veut pas. Est-ce, question de fierté ? Inquiet, je laisse mes pupilles le dévisager, un instant de faiblesse, ne m’échappera pas. Quitte à laisser tomber à terre, la peluche ou la barbe à papa. L’homme devant nous, semble hésiter, les paupières mi-closes, je bascule légèrement la tête sur le côté. _ Effrayé ? Je susurre, comme pour moi-même, interrogation qu’il ne me gêne pas réellement, de partager. Résumé : Astra profite de son date avec Uriel – en tenant à une main l’énorme peluche poisson, de l’autre, la barbe à papa Après lui avoir glissé quelques mots doux (et un chaste baiser), il s’inquiète pour sa capacité à marcher, son attention ensuite attirée par Clarence. Il demande s’il est effrayé, sans réellement s’inquiéter qu’on puisse l’entendre.
Astrophèle H. Melianthos


Darren Lockwood Maison des Roses et de l'Ombre
Feat : Âme : taureau Age : 66 Métier : vendeur de poulet frit (ex-mafiosi, ancien sous-chef des forces armées) Double compte : faith a. bartholomé Lenss : 319 Messages : 18 Date d'inscription : 20/04/2023	Sam 25 Nov - 22:35 If Jesus died for all our sins He left one behind, the body I'm in LE SPECTRE DU PASSÉ évent 6 A défaut d’avoir pu porter le titre de meilleur père, Darren profitait pleinement du temps qu’il pouvait passer avec ses petits-enfants. Il n’était étrangement pas question de regrets, lorsqu’il avait proposé à Tallulah de l’accompagner jusqu’à Ithloreas afin de profiter de la fête foraine et ce n’était encore moins une question de nostalgie. Lui qui n’avait aucun souvenir d’avoir vécu de tel moment dans son enfance, lui qui n’avait sans doute pas pu en offrir suffisamment à ses mioches. Il ne s’alliait pourtant pas aux festivités, avec cette carrure bourrue et ses lunettes de soleils afin de dissimuler son faciès sévère et meurtri – donnait alors l’idée que durant toute l’après-midi Darren avait cherché à fuir les lumières éblouissantes des différentes attractions. Et si le sourire de sa petite-fille était d’or, il ne pouvait nier qu’il avait personnellement apprécié les quelques manèges dans lesquels il avait pu rentrer compte tenu de sa corpulence, tout autant que les quelques friandises qu’ils avaient pu partager avec la demoiselle. Et si le temps passait, Darren ne s’en était même pas rendu compte. L’appel de son estomac pourtant, avait remit les pendules à l’heure. Il s’était empressé d’acheter différents snacks pour les partager sur la plage avec sa petite fille ; profiter quelques temps du calme de l’océan et du vent sifflant. Se reposer un peu l’esprit avant de retourner dans le brouhaha de la foire. Pourtant non loin, son regard est attiré et il vient à s’interroger lorsqu’il remarque une petite queue se former devant un bâtiment qui semble être abandonné – les lumières pourtant, qui semble indiquer le contraire. « Il y a l’air d’avoir une attraction à l’écart, tu veux aussi essayer ? » A pas de loup qu’il s’y approche pour tenter de glaner quelques informations, mais sans grands succès. « Deux tickets s’il vous plait. » Qu’il demande alors, après l’accord de Tallulah. « Peut-être qu’on y rencontrera des fantômes ! » Qu’il clame sous un ton bien trop sérieux avant de toiser du regard les quelques personnes qu’ils venaient de rejoindre dans la queue. résumé; - a passé toute la journée avec sa petite fille tallulah - ils ont fait des attractions + manger deux-trois trucs - heure du goûté tavu, qu'ils vont sur la plage pour manger un peu - propose à tallulah d'aller faire le manoir pck why not ?? on est courageux ici enfait - il vous toise tous assez méchamment, mais en vrai c'est juste sa façon normal de faire les choses (en vrai il vous regarde juste normal- mais avec quasi 2m + gros biscotto de taureau + le corps rempli d'un milliard de cicatrice mm sur le visage c'est sur que ça change l'ambiance !!!) @Groupe 4.2 gitano
Darren Lockwood


Tallulah Scarlet Maison des Roses et de l'Ombre
Feat : Âme : Tamarin lion Métier : Lycéenne ✿ Chasseuse de dinosaures Double compte : Hector ✿ Gustave ✿ Laurens Lenss : 48 Messages : 29 Date d'inscription : 15/04/2023	Dim 26 Nov - 15:41 Près de la mer Et ainsi durant toute la marée de la nuit, je me tiens couché aux cotés, de ma chérie. Ma chérie, ma vie... mon épouse, dans sa sépulture, là Gronde entre ses tripes le son bruyant des ivresses juvéniles, crispé au milieu de ses doigts frêles le caramel des pommes amoureuses et contre sa nuque, s'ébroue les quelques frissons du souffle des passants qui s'entassent et s'amenuisent. Tallulah, à moitié entre les dérives des genres râle et hurle dans les attractions hideuses qui font sauter les entrailles dans des soubresauts indélicats. La langue glisse sans tendresse par dessus les dents pour en enlever les couches sucrées qui s'y amassent, les épaules se tirent dans des danses affriolantes pour cavaler au rythme de la musique qui hérisse et les poils et les sens. Darren, devenu son plus fidèle compagnon, pour aujourd'hui Tallulah a abandonné les fouilles archéologiques et les rêveries ubuesques, elle a profité des candélabres effrayants, des fanaux que les plus anciens accrochent par dessus les stands métalliques. Sous la foule déchaînée, Darren et Tallulah ont abandonné les ruées pour l'abysse de la mer et de son suroît. Entre ses phalanges étiques, Tallulah a pris le soin de défaire les lacets dévorés par l'usure, le dos rond à plonger les mains entières jusqu'au coude dans les vagues grondantes, à humer l'écume bavant et les algues grouillantes lui ont promis des relents d'un endroit à appeler chez-soi. Oh oui ! J'adore les vieilles attractions, on peut y raconter n'importe quoi, les gens nous croient toujours ! Elle a le pourpre aux joues et les lèvres couleur vermeilles, le rire suintant de malice et Tallulah suit en fredonnant les airs entêtants de la fête Darren jusqu'à l'accueil. Elle y découvre des frimousses qu'elle n'a jamais aperçu, des adultes qu'elle pourrait appeler des viocs et elle se rapproche du plus jeune, celui a l'air farouche et aux épaules trop carrés pour qu'il ne soit pas un victorieux combattant. Si on se serre assez dans la navette, on peut y entrer à trois. Tallulah a oublié les politesses et elle tend la main comme le font les bons hommes. Moi c'est Tallulah et lui c'est mon papi, Darren. Et comme dans une confession saugrenue, elle attrape le bras de l'inconnu pour susurrer à son oreille. Il a déjà tué des gars plus grands que toi. Chipie, Tallulah se marre comme le font les vagues qui tremblent contre les falaises, avance entre les silhouettes et tend les deux mains aux autres inconnus qui semblent déjà se connaître. Elle pourrait inventer des vies entières pour des vies déjà passées. Vous êtes mariés ? On dirait, c'est bien. Il paraît qu'on paie moins d'impôts quand on épouse quelqu'un. dans sa tombe, près de la mer sonore. glossycodes
Tallulah Scarlet


Soul Admin
Métier : Maître des âmes Lenss : 2577 Messages : 963 Date d'inscription : 06/09/2021	Dim 26 Nov - 16:15 Le spectre du passé yadesmonstres ? #Event6#attraction#cafaitpaspeur Vos billets à la main, vous attendez plus ou moins patiemment que l’attraction commence, que l’on vous ouvre les immenses portes du manoir. Vous n’êtes que cinq, petits et grands, sous le regard blasé d’un employé. Un « bonne chance » soufflé comme s’il faisait ça depuis le début de la journée avant de vous ouvrir les portes en grand. Prêt à vous engager dans l’attraction, les animas à l’oreille sensible entendront pourtant la foule s’agiter au loin sur la plage, près de l’eau. Rien de vraiment inquiétant malgré le brouhaha qui enfle au loin. Pas vraiment le temps d’en savoir plus ou de questionner le personnel, les grandes portes se referment derrière vous. Il n’y a plus de retour en arrière, vous voilà seuls. Vous débarquez dans ce qui semble être un hall d’entrée. L’intérieur est lugubre, poussiéreux. Une musique sinistre s'enclenche, quelques notes jouées au piano ; des petites lumières clignotent, semblable à des feu-follets, vous permettant à peine de voir ou mettre les pieds si votre âme n’a pas la chance de se repérer dans le noir. Devant vous s’étend un grand salon au papier peint jauni par le temps, déchiré à certains endroits. Aucun doute se manoir à tout d’un lieu abandonné, digne d’une attraction hantée. Non loin de là une enceinte grésille avant qu’une voix robotisée ne prenne la parole, probablement enregistrée. « Allez jusqu’au sommet et trouvez la vérité… …sans vous faire dévorer. » Un grésillement, la voix s’arrête, vous laissant seuls avec les notes de piano, le lumière presque inexistante et pas beaucoup plus d’information. Autour de vous, pas de porte ni d’escalier, un simple salon abandonné. Il va peut-être falloir fouiller, découvrir comment continuer. Le salon contient : - Deux vieux canapés élimés recouverts d’une bâche en plastique. - Une petite table basse en verre fendue sur lequel est posé un vieux téléphone filaire qui étonnement fonctionne toujours. - Une grosse commode en bois contre le mur. - Une cheminée inutilisée depuis des années, les cendres aussi froides que les morts. - Un vieux pot en terre cuite remplis de terreaux, la plante ayant poussé là étant morte depuis bien longtemps. Hrp : ◊ @Uriel kurusu @astrophèle H. melianthos @darren lockwood @Tallulah scarlet @clarence H. poingcarré ◊ privilégiez les réponses COURTES (sauf pour ce post d’introduction, si vous voulez vraiment y raconter votre journée faites vous plaisir) et un petit résumé des actions de votre personnage est demandé à la fin de CHAQUE réponse. ◊ vous avez jusqu’au 28 novembre, minuit heure française pour répondre avant l’intervention MJ. Si tout le monde a posté avant, il est possible que la rep MJ soit également avancée. made by MISS AMAZING. for HAKLYONE
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Clarence H. Poingcarré Maison du Souffle et des Cendres
Feat : Âme : Loup noir Age : 29 Métier : Facteur Double compte : Désiré + Igor Lenss : 190 Messages : 46 Date d'inscription : 15/04/2023	Dim 26 Nov - 20:16 EVENT VI Le spectre du passé Un pli sur son front, dessiné à main levée par la méfiance, prend la forme d’un accent quand, malgré lui, s’amasse d’autres âmes sur le seuil, jauni et grinçant, de la bâtisse. Parce que les gens qui s’aiment, les grands-pères et leur petite fille, Clarence ignore quoi en faire dans une attraction, stipulée « horrifiante » sur la pancarte d’entrée. Ses doigts fourragent dans la tignasse, les petits-fils sous l’élastique tirent douloureusement, et il triture le paquet de Winfield bleu avec acharnement, laisse tomber un soupir bref. Ce ne sera pas long. Il colle son nez sur le sweat, inspire plus fort que de raison. Laurens aurait-il aimé être là. Lui aurait-il tenu la main ou se serait-il caché dans un placard pour rendre bleu les autres visiteurs. Clarence sourit, rit par leur nez, drôle de trompette, quand la voix malicieuse et délicieuse de la plus jeune tire son bras. Salut Tal’ et Monsieur Papi. Une insolence dans la voix qui ne l’a jamais vraiment quitté depuis l’adolescence. Clarence. J’espère qu’ils ont enlevé le kraken de la salle aux trésors. Il n’en sait rien. Il invente, se prête au jeu pour avoir l’air moins… c’est sur le bout de sa langue ce mot pour décrire la sensation d’être dans les mauvaises chaussures peu importe l’endroit où l’on se rend. Plus bas, agenouillé dans un crac sec, il ajoute. Tu crois qu’il a fait la guerre ou un truc du genre ? La guerre sur l’île ça n’a jamais vraiment existé mais la guerre, ils y ont joués enfants, ils ont vu les tournures que pouvait prendre les joutes des maîtres, alors le concept de la guerre lui, est bien réel. Il se marre, encore, une main en mouchoir sur la bouche en entendant la remarque de la brune qui lui rappelle les esprits libres, ce qui pensent et parlent en même temps, s’amusent du premier givre sur les baies. Ils entrent, sous la houlette d’un homme aussi usé que le manoir, et Clarence détaille de ses yeux devenus jaune la pièce. Les oreilles couchées en arrière, le grésillement pénible de l’indic, captent les infos et il ne sait pas bien, Clarence, s’ils doivent partir en exploration ou échanger quelques mots de plus. S’il y en a qui n’ont pas de vision nocturne ils peuvent regarder avec moi. Il espère que ce sera Tal, qu’elle dira d’autres choses piquantes et drôles, parce qu’il ne sait pas encore comment aborder les autres. Je check du côtés des canapés. Il s’avance près du mobilier, soulève et inspecte les bâches, la gorge qui se grippe et finit par éternuer à cause de la poussière. Avec le pied, Clarence déplace les sofas, tâte avec les doigts le parquet dessous. Bas mais assez fort pour être entendu, il murmure. Ce serait marrant qu’on tombe sur la cave plutôt que l’escalier… ft. les boutes en train ayeaye Cactus Résumé:
Clarence H. Poingcarré


Astrophèle H. Melianthos Maison du Chant et des Os
Feat : Âme : Serpent Roi de Californie Métier : Prêtre Double compte : Jayson Wymer / Ephraïm Kurusu Lenss : 305 Messages : 72 Date d'inscription : 26/08/2023	Lun 27 Nov - 18:11 Arrivent, un homme solide au pas lourd, jeune demoiselle sautillante et virevoltante, étincelle, se dépose sur le bois déjà sec, de ce garçon aux yeux éteints. Le feu prend, rires et malices, les visages se fendent d'un rictus plein de dents, de ces enfants qui ne demandent qu'à embraser le monde - pour le plonger, dans la lumière ou le réduire, à l'ombre. L'homme à leurs côtés a déjà, le visage traversé de cicatrices, entendre, qu'il a tué, ne m'arrache aucun frisson. _ Le mariage offre la possibilité de réduire ses impôts ainsi que le poids de l'existence - et s'il n'est pas heureux, au moins apporte-t-il quelques réponses, aux questions existentielles. Je réponds placidement. Comment exprimer en quelques mots, qu'il est, le ciel au travers duquel mon âme stellaire, s'illumine et voyage ? Que nous ne sommes déjà plus tant de ce monde, les pieds sur terre mais l'esprit, encore loin de toutes données scientifiques qui parviennent réellement à expliquer, ce qu'est l'amour et ce que sont les pensées, comment, quelques hormones et signaux électriques, donnent naissance à de telles, sensations ? Mais cette innocence pragmatique, m'invite à me mettre à son niveau et non pas à m'égarer au travers de mes réflexions philosophiques. _ Tué ? Intéressant passe-temps. Travaillez vous donc à la fosse ? Et emmène-t-il la fille, avec lui ? Mes yeux vont vers mon amant, le souvenir de son corps brisé dans la ruelle, l'envie, de prendre sa main dans la mienne. Les portes s'ouvrent et j'engage le pas, au garçon aux yeux d'or, restant aux côtés d’Uriel que je laisse passer devant moi. Je ne vois pas dans le noir, mais discerne les jeux de couleurs… Et tâche de le guider, de ma voix. Arrivant dans la pièce, j'observe mais mon attention est aussitôt attirée par la plante. D'un pas rapide, je m'en approche. La peluche posée en travers de mes épaules, ma main libre se saisit du pot et j'observe avec attention la terre desséchée. _ Elle est morte. Ma voix, neutre, prononce ces mots avec une sinistre fatalité. Je tourne le pot entre mes doigts, à la recherche, d'un signe de vie. Résumé : J'ai répondu avant mon tour car je ne pourrais pas rp demain pardon !!! ;w; Astra répond à Tallulah et s'interroge sur l'ancien métier de Darren Il engage le pas à Clarence, bien qu'il laisse Uriel passer devant pour veiller sur lui A peine arrivé, Astra se précipite sur la plante avant de constater qu'il est trop tard pour la sauver ;;
Astrophèle H. Melianthos


Uriel Kurusu Maison de la Lune et du Sang
Feat : Âme : Requin-Baleine Métier : Milicien en arrêt maladie Double compte : Julius Renatò Lenss : 124 Messages : 75 Date d'inscription : 25/06/2023	Mar 28 Nov - 21:05 event • le spectre du passé Bien heureux il est, ce milicien au repos, de profiter de cet endroit. Même si effrayante s’annonce la visite, il ne peut s’empêcher de sourire. Il est avec Astra. Que demander de plus ? Vite vont les conversations autour de lui alors qu’il peine à trainer sa carcasse, mais tout il écoute, même s’il ne peut se concentrer à y répondre de suite. Il songe à ce qu’il aurait pu dire… Réduire le poids de l’existence… la mienne est bien plus paisible depuis qu’Astrophèle est dans ma vie. Le mariage… Ca me rappelle quelque chose mais je… ne me souviens pas. Mais voilà que l’animation le sort de ses pensées et qu’il doit déjà se concentrer sur autre chose, sur ce qui est dit, sur ce qu’il voit. Tant de choses, peu d’indice. Il pourrait sans doute suivre Astrophèle, mais lui aussi doit mener sa propre enquête. Tendrement cependant, Uriel adresse une caresse au dos de son amant quand il voit son regard face à la plante. Puis il se détache pour voir autour de lui. Sa vision dans l’obscurité est parfaite, à dire vrai. Bien meilleure que certains autres ici présents. De loin, il regarde la commode mais elle semble si lourde qu’il ne sait pas même s’il pourrait la bouger, dans cet état. Mauvaise idée alors. Ce n’est pas avec ces muscles fatigués que je vais servir à grand-chose… Je m’approche des canapés mais bien rapide est le jeune homme et je lui souris simplement. « Mes grands-parents recouvraient les canapés avec du plastique quand je venais, enfant. Pour ne pas tâcher le tissu. » Sourire maladroit. Ma remarque est inutile, je crois. « Désolé je… suis nerveux alors je parle. Mais peut-être qu’il y a quelque chose de précieux dans les coussins ? » Un soupir s’échappe d’entre ses lèvres alors qu’il va vers le vieux téléphone. Il ne peut s’empêcher de le décrocher. « Il fonctionne. Il y a peut-être un numéro à appeler ? » Regard vers tout le monde dans un petit sourire. Sans doute pensent-ils que je vais les ralentir, dans cet état. Et ils ont sans doute raison… mais je dois leur prouver le contraire. résumé:
Uriel Kurusu


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