17h. Ithloreas, non loin du port, à l’écart vous observez la foule aller et venir entre les stands et les attractions auxquels vous rêvez peut-être de participer. Vous êtes en post depuis déjà plusieurs heures, le soleil commence à se coucher et vous rêvez probablement d’une bonne pause, que la relève arrive et que vous puissiez cesser vos patrouilles le long du port, de la plage et entre les stands. Manon, votre Maîtresse de Maison à insisté pour que vous restiez tous vigilants, vous répartissant en groupe de 4 miliciens pour patrouiller et surveiller les festivités. Bien que la fête foraine ait attiré une foule immense pour son ouverture, il n’y a pour l’instant pas eu de gros débordement. Ephraïm, Ilya, Jean, vous êtes sous les ordres d’Elyas lors de vos patrouilles de la journée et avez interdiction de vous séparer avant que la relève ne vienne. Ici et là, vous apercevez d’autres quatuors de miliciens surveiller la foule et les environs. De temps en temps, vous êtes la cible de regards haineux de la part d’animas de la Maison du Souffle et des Cendres, les tensions entre vos Maisons rivales n’étant pas apaisées pour autant malgré l’ambiance de fête et de bonne humeur.
Elyas, tu es le seul du groupe à disposer d’un talkie-walkie à ta ceinture afin de communiquer avec les autres groupes de miliciens en poste pour la soirée. Pour l’instant tout est calme, tu n’as pas eu à beaucoup l’utiliser. Mais pour combien de temps ?
Hrp :
◊ @Elyas belcourt@Ilya Matkovic@Ephraïm Kurusu@Jean klein bienvenue dans le groupe 2, vous êtes donc en patrouille de surveillance par groupe de 4, ici sous les ordres d’Elyas, le plus haut gradé parmi vous. L’objectif : surveiller à la fois la foule et la fête foraine pour éviter les débordements et le bord de plage, afin de pouvoir observer l’horizon et la silhouette possible d’un navire, même si plus personne n’y croit vraiment à mesure que les heures passent. Vous êtes actuellement à côté du port, au cœur des stands et des attractions. ◊ pour cet event il n’y a pas d’ordre de passage imposé, on vous laisse gérer entre vous pour commencer. Par la suite ça serait bien de garder l’ordre que vous aurez choisi, à moins d’un empêchement pour un membre auquel cas c’est toujours mieux de ne pas bloquer tout le groupe. En cas de gros empêchement ou de grosse absence non prévue, c’est bien de prévenir le MJ, tant pis on sautera votre tour et vous rattraperez en cours de route. ◊ privilégiez les réponses COURTES (sauf pour ce post d’introduction, si vous voulez vraiment y raconter votre journée faites vous plaisir) et un petit résumé des actions de votre personnage est demandé à la fin de CHAQUE réponse. ◊ vous avez jusqu’au dimanche 26, midi heure française pour répondre avant l’intervention MJ. Si tout le monde a posté avant, il est possible que la rep MJ soit également avancée.
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Jean Klein
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Jeu 23 Nov - 22:42
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Ithlo'
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Les tensions dans les épaules et le vent marin qui portera peut-être demain quelques calamités
Jean marche à vos côtés, il n'aurait pas pu mieux tomber entre vous trois il se sent plutôt à l'aise, des collègues qu'il connait bien, son capitaine (le tiens aussi Epraïm) alors les festivités détrempent sur son visage chaud dans la fraicheur, Jean à les oreilles et le nez rouge mais pas d'avoir pris trop de vin chaud, plutôt du vent qui gifle sa peau.
Il ne pense pas au pire même si le pire comme un tour de manège trois petits tours puis revient Jean il a assez donné il croit, entre son arcade à la tour, son épaule sur la plage cette même plage, mais ce ne sont pas de mauvais souvenirs il y avait, tissé dans les douleurs un fil de bonheur. Il avait vécu des choses, fait de belles rencontres, qui l'eut cru, pas lui, alors il se sent d'attaque aujourd'hui, même si pour l'instant, rien à l'ouest, comme les humains diraient, il suppose ? bah peu importe...
Jean se frotte les mains les malaxent l'une contre l'autre, le bateau humain, ça l'inquiète un peu, mais il est de ceux qui n'aime pas le montrer, il ne voudrait pas que son inquiétude s'éparpille parmi vous, il en parlera une fois qu'il sera chez lui, à son verre de vin, il est en repos demain.
Ce qui l'inquiète plus, c'est la maison des souffles, avec son incident sur la plage plus les rumeurs, le tout mélangé pèle-mêle, il prend de pleine face les quelques regards mauvais que vous semblez attirer, Il n'arrive pas à en sourire alors leur répond d'un froncement de sourcils, soutenant leur regard. Il leur dirait presque qu'est-ce qu'elle a ma gueule si vous n’étiez pas en compagnie du chef ; c'était pas le moment de flex les biscoteaux. Non à la place une fois le regard soutenu plusieurs secondes puis les mécréants disparus dans la foule Jean soupire, faisant craquer son cou.
A voir comment ils nous regardent les souffles, on dirait qu'on leur à volé la vedette à la tour, j'avais jamais entendu parler avant de mauvais gagnants....faut une première à tout j'crois !
Qu'il échappe en donnant une petite claque dans le dos d'Ephraïm à ses côtés et jaugeant de droite à gauche vos réactions.
(c) opalescence
*Jean n'a pas encore montré son inquiétude pour le bateau *depuis son soucis à la plage le mois dernier, il a plus de mal à digérer le comportement des souffles *Il donne une tape dans le dos d'Eph' en tentant de vous rameuter à sa cause avec une petite blague.
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Sam 25 Nov - 1:28
SURVEILLANCE
le regard perdu sur l’horizon, menton levé la tête bien droite, il adorne l’allure fière du milicien malgré les mains triturées derrière le dos, seul signe visible de nervosité quelconque si on y prête suffisamment attention.
ilya il est de ceux qui sont rarement nerveux, toujours trop confiant trop arrogant presque trop méprisant pour s’autoriser à l’être, comme si c’était synonyme de faiblesse il se dit que tout peut s’arranger, que tout va bien aller. mais ilya n’aime pas ne pas savoir, être laissé dans le noir, ne pas comprendre. les humains, il s’en fiche, son monde et le leur n’ont rien à voir mais qu’ils ne donnent pas signe de vie, cette année, c’est trop anormal trop étrange pour être une simple erreur, un signe du hasard.
il est immobile depuis plusieurs minutes déjà, le regard jamais ne flanche ne se décolle de l’horizon, à l’exception des quelques fois où ses yeux cherchent ceux d’ephraïm sans vraiment penser, presque par instinct et immédiatement la nervosité s’évapore et ses bras retombent à ses côtés.
il ne remarque pas particulièrement les regards noirs qu’on lui jette sans doute trop habitué, ça fait partie du décor maintenant il ne s’en préoccupe plus.
il lance un bref coup d’oeil à jean lorsqu’il prend la parole, mais ilya ne rit pas (ilya ne rit jamais) se permet un haussement d’épaules désintéressé, toujours motus. les yeux se promènent un instant jusqu’au capitaine, pour revenir finalement sur ephraïm et enfin l’horizon.
après quelques minutes, le cycle recommence, le triturage nerveux de ses doigts.
résumé - il regarde l’horizon, il est un peu nerveux, mais il essaie de pas le montrer - des fois il regarde ephraïm, mais sinon il parle pas du tout - il est habitué aux regards noirs donc honnêtement il s’en fout un peu, il hausse les épaules à la blague de jean, jette un coup d’oeil à elyas, puis encore vers ephraïm - non vraiment il a rien à dire, il recommence à guetter le large et à se triturer les doigts
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Ephraïm Kurusu
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Sam 25 Nov - 9:28
Ephraïm se tient droit. Les mains dans le dos, la tête haute, endurant les regards noirs, comme il déjà tant fait face à la marée.
Il se souvient de cette première journée à la plage, passée aux côtés d’Uriel. De son corps qui s’est immobilisé, au contact du sable, des vagues qui l’ont fait fuir avant que le poulain ne soit reparti à l’attaque, au galop, en hurlant, comme pour faire reculer l’Océan. Et les vagues, s’étaient écartées un instant, sous le regard victorieux de l’enfant.
L’air salé, l’aigreur de l’atmosphère, ne le dérangent pas.
Mais il sent la nervosité. Celle de la foule, est secondaire ; ses yeux adressent œillade discrète, à Jean et Ilya. Jean, avec qui il a passé tant de bons moments, le premier fast food, les recettes échangées, les soirées passées à discuter, de potages et de lasagnes, de salades et de tartes.
Ilya. Ilya et les années d’affrontement, les années, de rapprochement. Le repas sur la plage, un soir où Ilya avait, tout préparé, même le plaid sur lequel s’assoir. Ecouter ensemble, les bruissements des vagues. La mer pour seul témoin, des sentiments timidement dévoilés, des mains qui s’effleurent, les cœurs battant à l’unisson.
L’absence du bateau ne le préoccupe pas réellement, il est davantage inquiété par l’agitation de la foule et la nervosité de ses collègues, empathie toute équine, qui le pousse à relever la tête quand la main s’abat dans son dos. Le garçon ne bronche pas, sourire s’échappe au bout des lèvres, rassurant, il reprend d’une voix ferme.
_ C’est une longue histoire. Entre les arrestations qu’ils estiment injustes et les disparitions des Miliciens…
Petite moue, sourcils qui se froncent, haussement d’épaules.
_ Qu’ils pensent ce qu’ils veulent, qu’ils trouvent leur joie là où ils peuvent, nous sommes là pour assurer la sécurité du maximum de personnes. Je me tiendrais à mon devoir. Si nous nous montrons exemplaires, ça sera peut-être un moyen de faire changer les choses…
Surprenant le geste nerveux de son petit ami, Ephraïm finit par simplement saisir une main du blond. Quelques secondes, étreinte des doigts qui serrent les siens, yeux qui s’unissent, à ses prunelles, raffermit son emprise puis le relâche.
_ Ca va aller, tente-t-il de les rassurer, d’un hochement de tête appuyé, Nous ferons tout, pour que ça se passe bien. Pour tout le monde. Restons soudés.
Je veille sur toi, dit il sans laisser sa voix, prononcer ces mots.
Ses yeux reviennent sur Elyas.
Résumé : Ephraïm a de nombreux bons souvenirs auprès de l’océan (avec son frère, Ilya…), il est d’ailleurs soulagé d’être entouré de Jean, Ilya et Elyas. Il répond à Jean et essaye tant bien que mal de rassurer ses 2 amis tout en adressant un regard à leur capitaine.
Ephraïm Kurusu
Elyas Belcourt
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Tu t'étais autorisé après ces heures sans respirer à prendre une seconde de répit. Vos pas vous avaient éloigné de la foule, juste assez pour pouvoir souffler sans que cela ne se remarque, jamais trop néanmoins afin que vos regards toujours puissent capter la foule qui s'agitait. Et derrière les rires et la vie il y avait cette colère parfois, vrombissante dans le silence d'une oeillade indiscrète à laquelle tu accordais un sourire poli. Bienveillance bienvenue au creu des lèvres, tu savais néanmoins à quel point ça t'affectait.
Et si ça t'affectait alors... Eux aussi, sûrement. Pourtant tu n'avais rien dis, pensé bien sûr mais aucune parole n'était sortie.
À place c'est Jean qui avait parlé, t'arrachant un sourire amusé, discret mais bien présent tandis que ton regard avait quitté la foule pour observer le large de l'océan. Ça aussi, c'était un problème. L'un de ceux que tu ne savais résoudre, de ceux qui, seulement parce qu'ils inquiétaient les autres t'inquiétaient aussi. Cependant bien vite ton attention s'était attardée sur Ephraim dont les paroles te semblaient criantes de vérité. Tu ne pouvais t'empêcher d'être fier, et probablement que cela transparaissait dans ce regard posé sur lui, pour ce garçon qui avait parcouru déjà bien du chemin.
Ceci dit, il s'était arrêté soudain, avant de te regarder à son tour. Comme s'il attendait que tu prennes la suite.
Mais qu'avais-tu à ajouter après tout ça ?
— C'est à se demander qui est le capitaine, haha.
Esquisse embarrassée qui s'était étirée, tu plaisantais bien sûr et la plupart d'entre eux avaient l'habitude de cet humour un peu décalé. C'était ta façon à toi de combler les blancs gênants avant qu'ils ne s'installent, de reprendre un peu de contenance avant de poursuivre plus sereinement.
— Plus sérieusement, je n'aurai pas mieux dis. Je sais que les temps sont difficiles mais je vous sais tous les trois forts et endurcis. J'ai toute confiance en vous, en votre sérieux comme en votre coeur d'ailleurs.
C'est bien pour ça que tu les avais pris avec toi aujourd'hui.
— La journée a été longue mais grâce aux efforts de tout le monde il n'y a pas eu de gros soucis. Faisons en sorte que ça dure pour notre dernier quart.
Ton regard dans les leurs un à un, tu n'avais jamais douté.
Résumé : • Il profite pour SOUFFLER pck respirer c'est interdit quand t'es en service mdr • Le bâteau la vérité il osef un peu mais le peuple exige qu'il s'en soucie alors il s'en soucie un peu. • Clairement plus emmerdé par les p'tits haineux pck super empathe par ici yes • Jean le fait rire et il est trop fier d'Ephraim mais gars pourquoi tu l'regardes à la fin comme s'il devait parler ?????? • Un peu prit au dépourvu, il cache l'embarras par une vanne et reprend le flambeau du coaching d'équipe. • Vous êtes des bg on va tout défoncer
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Elyas Belcourt
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Dim 26 Nov - 11:24
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faut surveillerlaplèbe #Event6#Milice#vivemanon
Tout à vos conversations, l’œil vigilant braqué sur la foule, vous profitez d’un moment de calme malgré les regards indiscrets. Mais petit à petit, un brouhaha se fait entendre à l’extrémité du port, près des bateaux. La foule commence à s’agiter, des petits curieux se dépêche d’aller voir. Vous entendez quelqu’un crier au loin. « C’est le bateau ! » et de nombreux animas reprendre en cœur. Si l’annonce à de quoi en exciter plus d’un, curieux, d’autres préfère afficher une moue de dégout ou bien de peur. Cette annonce n’a pas de quoi satisfaire tout le monde et annonce probablement un grain de sable dans les parfaits rouages de la fête foraine.
En effet en vous rapprochant des quais, vous apercevez au loin l’immense silhouette du navire des hommes. Floue, incertaine, mais belle et bien là. Aucun doute, le bateau se dirige vers l’îlot merveille comme il était censé le faire la veille. Elyas, à ta ceinture ton talkie-walkie grésille, il s’agit d’un membre de ton unité posté avec son propre groupe non loin de là. « Capitaine, vous l’avez-vu ? » Une simple question rhétorique, toute la foule semble l’avoir remarqué maintenant. Le talkie grésille à nouveau. « Des petits curieux vont peut-être tenter d’aller voir de plus près malgré l’interdiction… et la foule est inquiète. » Une question dans la voix. Autour de vous, c’est vrai que ça s’agite un peu, il ne faudrait pas laisser tout ça dégénérer et laisser n’importe qui emprunter un bateau pour se rapprocher de l’îlot merveille.
Hrp :
◊ @Elyas belcourt@Ilya Matkovic@Ephraïm Kurusu@Jean klein ◊ privilégiez les réponses COURTES (sauf pour ce post d’introduction, si vous voulez vraiment y raconter votre journée faites vous plaisir) et un petit résumé des actions de votre personnage est demandé à la fin de CHAQUE réponse. ◊ vous avez jusqu’au mardi 28, minuit heure française pour répondre avant l’intervention MJ. Si tout le monde a posté avant, il est possible que la rep MJ soit également avancée.
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Elyas Belcourt
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Ça avait commencé par quelques petits chuchotements surpris qui t'avaient fait froncer les sourcils légèrement, puis petit à petit les voix s'étaient élevées de plus en plus fort -à vos oreilles alors des exclamations qui font dériver les regards vers l'océan. Au fin fond des eaux la silhouette de ce navire tant attendu et aux abords alors des foules qui s'amassent rapidement.
— Ça pour une surprise..
Et, tandis que tu t'apprêtes à donner des ordres à ton équipe, le talkie vient grésiller désagréablement à vos oreilles cette question qui, à ton sens, n'annonce que le début des problèmes. Néanmoins, tu ne te contentes que d'un soupir avant de répondre.
— Oui, comme nous tous j'imagine.
Il n'y a que tes collègues pour voir la grimace venir déformer tes traits.
— Je n'aime pas ça.
Les mots sont soufflés comme un pressentiment rien que pour toi, tandis qu'Ivan parle de nouveau à travers le talkie. La foule est inquiète mais tu n'as malheureusement pas le temps de t'en faire, toi. En pleine réflexion alors, tu retraces dans ta tête une carte des lieux avec les positions de chacune de tes équipes.
— Ok..
Souffle pour évacuer le semblant de pression et retrouver ton calme habituel. Le regard se fait plus sérieux tout à coup tandis que tu donnes tes instructions, ta main libre bougeant sur ce qui semble être face à toi une map invisible ou un plateau d'échecs.
— Les équipes 1 à 6, 9 et 10 sont les plus proches du port et de la plage. Gardez vos positions et protégez les embarcations, nous n'avons pas besoin d'un accident maintenant. Les team 7 et 8 en renfort. Team 12 à 15 vous profiterez d'être dans la foule pour rassurer les civils et éviter les débordements. Team 16 à 21 vous consolidez vos positions en périphérie, le bâteau arrive par la mer mais il y a tout de même un risque que cela parte en vrilles sur terre. La team Alpha va se rapprocher de l'îlot Merveilles pour s'assurer que tout va bien.
Un souffle encore.
— À toutes les équipes, je compte sur vous pour que tout se passe bien aujourd'hui.
Tes derniers mots prononcés, vous entendez dans le talkie le grésillement des réponses des différentes équipes tandis que tu lances un regard à chacun des membres de la tienne comme pour t'assurer de leur motivation avant de poursuivre.
— Allons-y.
Résumé : • La foule s'agite et il essaie de comprendre pourquoi, quand ça crie "oh le bâteau !" ofc tout le monde regarde et il est surprit. • Soucieux aussi, p'tit pressentiment que ça va être galère maintenant. • Ça se confirme quand Ivan le poke au talkie. • Il prend une seconde pour réfléchir avant de donner ses ordres à toutes les équipes au talkie. • Il bouge sa main comme sur un plateau d'échec pour se visualiser ses troupes dans l'espace. • Nous c'est la team alpha et on va ofc au coeur de l'action les bg gogogo ♥
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Lun 27 Nov - 18:48
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Jean ne prend pas en grippe le fait qu'Ilya reste de marbre, c'est souvent le cas, il avait l'habitude lorsqu'ils étaient dans la même unité. Ephraïm répond comme si c'était une question, il faut croire que tout le monde était bien sérieux aujourd'hui, ça doit être l'ambiance du bateau manquant, ça fait tourner les méninges. Jean hoche la tête en une approbation silencieuse, aujourd'hui si tout se passe bien, ils peuvent peut-être apaiser les tensions, Jean n'aime pas lorsqu'il y a de l'électricité dans l'air. Le chef semble du même avis. Jean le regarde lors de son discours, reprenant son sérieux.
C'est alors, que le vent se lève la foule reprend cette houle le bateau est là. le talkie du capitaine grésille, Jean déglutit.
S'il n'aime pas ça, Elyas, Jean non plus il ne sait pas à quoi s'attendre, c'est comme un oiseau de mauvais augure le retard, la fête le long des quais et de la plage toute cette foule...pourvu que tout se déroule comme prévu.
Les ordres fusent, Jean écoute d'une oreille, se tranquillise ils ne sont pas seuls, c'est un rouage bien huilé. Allons-y, Jean acquiesce à nouveau, silencieux, il a pris un regard bien sérieux.
Il faut fendre la foule qui se presse sur les bords Pardon, laissez-passer, il se met en devant pour vous fournir un chemin entre les badauds, tout en douceur, il ne faut pas inquiéter ce qui pourrait s'apparenter à une meute frissonnant avec le délire, il faut être posé, rassurant, montrer que l'on est là, que la situation est sous contrôle.
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*c'est fini les blaguounettes *jean prend les devants et vous fraye un chemin parmi la foule qui s'agglutine
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Mar 28 Nov - 7:22
Le navire approche.
Mais ses yeux sont fixés sur son capitaine, les bras croisés sur son torse. Bien qu'il soit habitué au calme du Mont Hurleur, il n'est pas encore inquiété par l'agitation de la foule, pas encore touché par la nervosité de ses compagnons.
Ce n'est pas par un trop plein d'assurance, non ; il se sent seulement solide, les deux pieds campés dans le sol, et sait que s'inquiéter risque davantage de lui faire perdre ses moyens. Il doit rester maître de ses émotions et tant qu'il le peut, suivre la voie de la raison.
Face aux instructions, ses bras se décroisent. Ses yeux suivent le dos de Jean, qu'il est soulagé de voir fendre la foule pour leur frayer un passage… Ephraïm en aurait probablement été capable, mais il n'a pas sa carrure, il aurait probablement eu à hausser la voix ou à taper du pied, et ça ne l'enchante jamais.
Son pas engage celui du Capitaine, pour veiller sur ses arrières, adresse une oeillade à Ilya.
Il sait, qu'ils ont tout intérêt à se montrer posés, dans le contrôle de la situation, il adresse parfois, un sourire, un geste de la main ou un “tout va bien” aux regards qui se dirigent vers lui, bien que son attention revienne souvent vers le navire.
Pourquoi ce retard ? Est-ce un souci de météo ? A-t-on mentionné une tempête ou quelque chose ?
Et si ce n'est pas ça, qu'est-ce que ça peut être ? Les humain.es commencent-ils à se désintéresser d'eux ? De ces êtres qu'ils ont abandonnés ? A moins que certain.es ne se soient révolté.es contre elleux ? Les sourcils se froncent, sur ces questions qui germent mais qu'il ne partage pas, quoi que si, un murmure s’échappe, à l'adresse d’Elyas.
_ Qu'est ce que vous craignez, Capitaine ?
Il veille à rester hors d'atteinte des oreilles du public, l'objectif n'est absolument pas de semer la panique - mais de se préparer à la suite.
Résumé : Ephraïm est bien content que Jean s'occupe de fendre la foule Docilement, il engage le pas au Capitaine, pour assurer ses arrières Il lui demande ce sur quoi il s'inquiète, à voix basse, pour ne pas être entendu des civil.es et pour pouvoir se préparer à la suite (Je n'ai pas respecté l'ordre de passage sinon je n'aurais pas eu le temps de répondre ;; !)
Ephraïm Kurusu
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Mar 28 Nov - 19:55
SURVEILLANCE
les gestes nerveux se sont calmés depuis quelques minutes déjà, depuis l’intervention d’ephraïm, le regard s’est détourné et les joues se sont empourpées, tandis que tout bas il a maugréé les bras croisés
il cligne lentement des paupières face aux paroles échangées, les mots d’encouragement balancés auxquels il ne sait jamais vraiment réagir, et autant il aimerait se moquer des discours qu’il juge niais, ceux qui font penser que l’amitié c’est plus fort que tout et qu’ils vaincront, quoi qu’il arrive mais ilya face au sérieux de la situation il préfère laisser tomber, répondre avec un minuscule sourire, sourcil haussé pour le capitaine, un peu rieur, à sa manière. si on veut.
« c’est pas trop tôt. »
un soupir franchit ses lèvres en voyant le navire enfin arriver tout autour de lui, d’eux les gens commencent à s’activer, tout se met en branle. et lui il se contente de suivre le mouvement, derrière ephraïm, il ferme la marche. il chuchote, pour suivre son exemple, éviter de montrer à la foule que la milice n’a peut-être pas tout sous contrôle.
« …dites, je suis quand même pas le seul à trouver ça bizarre que ce foutu navire se pointe deux jours en retard, pour la première fois en presque 200 ans? »
lui qui ne partage jamais ses réflexions, cette fois-ci c’est trop étrange comme situation, trop bizarre. chaque fois qu’un truc change de ses habitudes, ilya il réfléchit trop, comme c’est le cas là maintenant c’est ce qui le rend si nerveux en cet instant.
résumé - tt timide à cause d’eph, mais il fait genre, il est grognon - c’est pas une pipelette, il fait juste écouter tt le monde, maybe il juge un peu les beaux discours tt ça tt ça, bref c ilya pardon ouin - mais il obéit sans râler au moins - c bizarre nn, le navire….. - non vraiment, c’est très bizarre quand même???? - il ferme la marche
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