haklyone
You do not have a soul. You are a soul, you have a body.
juste tout les deux un moment [pv. Désiré]



 
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juste tout les deux un moment [pv. Désiré]
Solal Abberline
Maison du Chant et des Os
Solal Abberline
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Dim 11 Juin - 19:31

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Se réveillant dans une chambre qui n’est pas la sienne, Solal s’était habitué a ce genre de paysage, il y avait un moment maintenant qu’il était resté auprès de Désiré. S’inquiétant pour son état, il avait remarqué que depuis peu, ca allait mieux.

Tant mieux.
Il avait besoin de ce genre d’espoir.
Il inspirait un bon coup.

Se redressait.
Jetais un œil vers celui qui partageait ses nuits. Les deux s’étaient habitué a leur relation nouvelle. Un amour improbable et pourtant bien présent. Son cœur avait retrouvé une moitié. Solal en était heureux et il avait besoin de savoir que Désiré allait bien.

Passant une main sur sa joue.
Il attendait de voir si ce dernier était réveillé.
S’il avait bien dormi.

« Bonjour, ca va ? »

Légère pause.
Il redoutait la réponse mais voulait que ce dernier lui réponde franchement : même si la réponse n’était pas rassurante.
« Tu as réussi a dormir ? »

C’était une façon d’évaluer son état.
Solal resterait là, a ses côtés le temps qu’il faudra. Noah son fils, était un garçon patient, il lui disait qu’il lui manquait mais ne semblait pas rendre la vie difficile a sa nounou, tant mieux : Solal pouvait s’estimer heureux de ce fait.

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Désiré Chanteloup
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Désiré Chanteloup
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Dim 18 Juin - 20:55

Qu'est-ce que j'irais
faire au paradis
Quand tu t'endors près de moi? Qu'ils le donne à d'autres, le paradis Je n'en voudrais pas

Les nuits sont fragmentées on dirait des puzzles.
C’est la course et les astres rament derrière lui. Désiré inspire. Le parfum de Solal, lourd, capiteux dans les absences, rassurant quand il est là. Comme ce matin, depuis un nombre incalculable de matins, les mains du fauve ne cherchent plus la grippe d’une bouteille mais la peau, laiteuse et imberbe, de son amant. Il y déniche les premiers rayons du soleil, des croissants dorés qui s’échappent de rideaux occultants, et la profondeur de ses sentiments, de son apaisement.

Un frémissement agite le corps, Désiré referme ses paupières, y a l’cœur qui tangue et il a un peu honte, de faire semblant, comme les mômes, à trente-six ans. Désiré préfère l’imaginer la texture du regard de Solal au réveil, une encre intense, le sentir se pencher quand les doigts pressent le cartilage, doucement. Il en a toujours été ainsi. Les ligaments écrabouillés ou les plaies ouvertes, il n’a jamais senti que la délicatesse exquise du toucher de Solal, ça la rendu faible d’une façon qu’il imagine au-delà du langage.

Il pense un instant feindre le sommeil profond pour être cajolé, de souffles, de mots, de doigts qui ressemblent à des étoiles filantes quand il rase sa peau. Désiré, pourtant, renonce. L’inquiétude, bien dissimulée sous la voix de velours et l’élégance de quelque divinité, il ne peut pas l’écraser sous le talon, ce n’est pas comme ça l’inquiétude. C’est comme les ombres et les cauchemars, on les éloigne sans s’en défaire.

Les cils se décollent, les iris sont d’un turquoise profond, pour détailler les traits sibyllins du directeur de l’opéra. … mieux depuis que j’ai ouvert les yeux sur toi. un sourire têtu, maladroit, fraye ses lèvres et un ronronnement lourd remplace le rire qu’il aimerait offrir. Oui. Pas tout le temps, pas la même consistance, pas toujours de façon heureuse. … Mieux que d’habitude. Parce qu’il s’en voudrait de mentir. Parce qu’il ne veut pas acheter la tranquillité d’esprit de Solal avec des mots creux.

Pour couper court. Désiré passe ses bras épais et raturés autour du torse mince, il serre doucement, ça ressemble aux gamins qui retrouvent leur jouet préféré. Le fauve creuse avec son nez abîmé dans le cou du brun, les longues mèches corbeau le chatouillent, il sourit contre la peau en soufflant fort pour comprimer un rire. Tu as faim ? Il dépose un baiser sous le lobe, tendre. J’veux t’annoncer une bonne nouvelle Désiré relâche son étreinte pour prendre appui sur un avant-bras, l’autre main occupée à démêler la crinière jais. …Mais ça peut attendre la passage du room service.

Oui oui oui.
Désiré peut bien attendre pour le plaisir de Solal. Envoyé se faire foutre l’impatience qui le caractérise pour étirer ces moments, si précieux, si intimes, qui estompent la sensation de brûler vif.

WINTER


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Solal Abberline
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Dim 2 Juil - 20:42

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La douceur du regard de Désiré qui se réveille, ce regard qui rassure Solal alors qu’il l’a connu dans des temps plus sombres. Il se sent bien en l’entendant, il sourit légèrement. Se laisse porter par les élans d’affections. Il inspire doucement, restant proche de lui.

« Tant mieux. Si ça va un peu mieux c’est que ça annonce une bonne journée. »

Une journée pendant laquelle Solal allait surement rester aux côtés de Désiré. Alors, il reste contre le brun, inspire son odeur, pose sa tête contre sa nuque. Le fixe.
« On pourrait manger en effet. »

Le ‘on’ utilisé volontairement pour le pousser a manger aussi. Solal n’aime pas manquer seul après tout. Surtout si Dez est dans le coin. Alors, il attend patiemment la suite, intrigué par cette fameuse nouvelle.

« Tu piques ma curiosité tu sais … »

Penche un peu la tête.
« Devrais-je retarder le petit déjeuner ? »

Il est prêt a le faire.
Un baiser se pose contre le cou de Dez profitant de la proximité pour imposer cet élan d’affection. Il inspire doucement.

« Si nous pouvons trinquer a ta bonne nouvelle ce midi ou même a notre petit déjeuner alors j’en serai ravi, alors dis-moi tout Dez. »

Il passe ses mains contre son torse.
Attend sa réponse, plus qu’intrigué à présent.

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Lun 4 Sep - 20:05

Qu'est-ce que j'irais
faire au paradis
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Tant mieux.
Si ça va un peu mieux.
Si à deux, on pousse l’embarcadère percé de Désiré de quelques pouces entre les dunes noires de son errance. Le fauve expire fort, un air brûlé, en direction de nulle part, c’est joliment encadré par les baldaquins moirés, et fait tomber les paupières qui abritent une nuit d’une intensité différente de celle partagée avec le guépard. Les oreilles frissonnent en sentant la forme des pommettes, un cartilage poli par l’art, s’enfoncer dans sa peau. Pourvu que la forme reste et ressemble aux plies que la taie d’oreiller laisse.

Il y a quelque chose que tu veux ? Il demande, encore hagard du sommeil ou du parfum du violoniste, les lèvres abîmées étirées près de la chair où il compte distraitement les grains de beauté. Il demande. Parfois. Pour s’ôter le doute d’oublier un désir de Solal dans la marée des siens. Parce qu’il aime à croire qu’il pourrait tous les exaucer, aussi, et c’est d’une prétention si naïve que le bookmaker ferme sa gueule. C’est le but, c’est le but… Il sourit, l’arrogance des mômes, en se redressant, sur l’avant-bras et les bustes embrassés. Il laisse le baiser s’échouer près des clavicules, son poitrail gonflé, un puissant ronronnement s’en détache. Du bout des doigts plein de cornes, des cales jaunies par le golf, il caresse la mâchoire de Solal. Je pensais que tu voudrais deviner. Il voulait qu’on le mousse, avec l’impatience et l’excitation, pour donner plus de relief à son annonce. J’imagine que c’est trop tard. Il va manquer de patience lui-même.

T’rappelle la sauterie à la galerie d’art ? T’sais avec la mioche que je coach et le mic mac de la mafia au milieu. Il dit vite fait, comme il a dû dire vite fait quand il est rentré voir Solal couvert de bobos et la marque des crampons de la reine de la mafia imprimée au milieu du torse. Galvanisé par la nouvelle, soucieux d’arranger les détails techniques, les gens à découper en petits morceaux. Désiré transpire la nonchalance goguenarde, il presse les mains au matelas pour s’asseoir en tailleur, le sommier grince, et les crocs bouffe sur le sourire, le sourire dégouline dans la voix. J’ai causé avec Madame Mafia, une putain de timbrée, le jour où je la zigouille je fais gagner dix ans d’espérance de vie à toute la foutue de population. S’il ferme les yeux, il se rappelle son odeur : la mort qui suintait de son corps comme du poison. Les bras s’hérissent, c’est l’excitation, et au centre des iris, la foudre liquide, se réveille quelques tonnerres de violence rancunière. Elle a pas tari d’éloge. Il marque un temps, il tirerait bien sur une latte de tabac gras. A sa manière. Après mis le puma sous les fers, avoir assurée ses arrières.

Le Chanteloup fait craquer une clavicule puis l’autre, un son qui fracture l’harmonie matinale, et passe la langue sous les incisives, il a presque la dalle. J’suis promu, genre vice-chef du vice, de la clandestinité, du marché noir quoi. Encore un type à éviscéré et j’aurais un pied sur le trône. Ce monticule osseux, qu’il a rêvé, du haut duquel on gouverne l’infernal, on transforme les lacs en sirop de sang et les plaines en cimetières de bataille. Désiré rit, c’est noir éclatant, et avec les paumes il soulève Solal près de lui, il susurre. Cette première victoire elle est pour toi mon cœur. Pour la putain de foi que t’as toujours eu en moi et pour les bordel de belles années qui nous attendent.

WINTER


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Dim 22 Oct - 23:41

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Le frisson de sentir le contact de Désiré sur sa mâchoire, Solal se laisse prendre au jeu, il se sent simplement bien en cette présence. Et quand il penche légèrement la tête pour profiter un peu plus de ce contact, il sourit doucement.

« Deviner ? Je ne suis le meilleur en devinette. »

Il rigole un peu.
Pensant que bien malgré lui, il aime les choses qu’il peut prévoir, les devinettes c’est synonyme d’imprévu mais avec Désiré, c’est acceptable : car il l’aime. Il inspire doucement, se laisse le temps alors qu’il l’écoute.

« Ah ca. Comment l’oublier, tu es rentré dans un tel état. »

Ce n’est pas un reproche, un constat. Qu’est ce qu’il avait pu s’inquiéter a cette époque Solal en le voyant tant blessé. Il aurait voulu que Désiré ait un boulot plus calme : mais on ne choisit pas ces choses-là et Solal l’accepte.

Il penche légèrement la tête, se redresse un peu plus, vient s’approcher de lui, pose une main sur son torse, le laissant continuer sur sa lancée.

« Tiens, je me disais bien que tu me parleras un jour de cette organisation, je n’y connais pas grand-chose mais je pense que c’est une bonne chose que tu sois dans ses bons papiers. »

Il rigole légèrement.
Et rougit bien malgré lui quand Désiré termine sur sa lancée. A présent tout proche de ce dernier, la victoire pour lui … Ca le fait frémir. Il n’est plus lui-même en présence de Désiré, il est simplement guidé par ce sentiment si puissant qui fait que tout est si positif, si magique. Il accepte tout. Absolument tout.

Collant doucement son front contre le sien, il répondra d’une voix douce.
« Et j’avais raison d’y croire. »

Les mains viennent caresser les joues de celui qui occupe toute ses pensées.

Il poursuit.
« Félicitation mon amour. »

Et vient effleurer ses lèvres, l’embrasser a la suite.
Il mérite tout ce qui lui arrive car malgré ce qu’on peut en penser, ce qu’on peut en dire, Solal le considère comme quelqu’un de merveilleux.
Parce que c’est Désiré : tout est acceptable.

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Désiré Chanteloup
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Mer 1 Nov - 14:58

Qu'est-ce que j'irais
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Qu’il voudrait contredire, Désiré, prétendre avec l’assurance des gens qui ont faux mais qu’on suit malgré tout, que : Solal est le meilleur partout. Qu’il a simplement à choisir, désormais, Désiré peut se targuer d’être celui qui éviscèrera les tripes qui le séparent de la première place du podium.

Il n’aura jamais à la faire, il songe en entendant le rire léger, comme l’orchestre qui parfois s’interrompt dans un frisson. Que Solal lui a donné le droit d’aimer sans que ne rampent à leur pied l’écume sanglante de quiconque, des marées qui s’immiscent même dans ses rêves. Les folies fiévreuses, c’est Désiré, lui seul, qui les engendre, et il aime penser que ceux sont des caprices qui n’éclaboussent pas le violoniste.

Le fauve sourit, fripon, d’être resté un animal de gouttière qui dans la voix caressante du guépard mérite encore la tendresse, celle qui s’efface du regard de ceux qui le fréquente. Le torse vibre sous la paume, une réponse naturelle et sonore, et il se presse plus fort, pour qu’on entende son cœur, ce cœur dysfonctionnel qui retrouve les accents d’un métronome au contact de son amant.

Une main s’étire dans l’air, froid en-dehors du cocon de chair, pour chasser la discussion, reléguée l’importance de la mafia au rang des dernières priorités. C’est un moyen. Peut-être le meilleur. Comme l’argent, le pouvoir, … Il faut l’avoir pour accomplir de grandes choses. Réduire les institutions boiteuses en poussière, aligner le mauvais sang qui pourrit leurs terres en stèles de granit, et bien plus, des idylles qui ont la forme d’une famille impériale qui ne craindra même plus la barrière de corail. Ces conversations, il les réserve pour d’autres jours, des crépuscules carmin, quand l’horizon lui sera favorable.

Désiré, qui dit que ne le fait flancher, se laisse aller à la sensation de la peau, chaude et douce, et les mots, qui réchauffe une âme creusée par la solitude fatale du chemin qu’il a choisi. Il sourit, les dents sous les babines et les yeux clos, passe ses doigts épais entre les mèches, le long des anneaux formés par les vertèbres. Respire l’odeur de la réussite emmêlée à une sérénité qu’il embrasse à la hâte pour mieux l’oublier quand il remonte dans les gradins de la Fosse. Encore un baiser, une valse qui suit le tempo immémorial des passions animales, et le puma s’arrache aux étreintes.

Les tempes battent, une joie brutale, et il écarte les rideaux, lourds et bordeaux, pour déguster les lueurs hivernales qui découpent son visage. Le froc, du lin blanc, tombent sur les bas de son bassin, quand, une main appuyée contre le bureau en olivier qui juxtapose le lit, Désiré décroche le combiné pour commander bacon, œufs, viandes saignantes, avec playthore de remarques sèches. Il raccroche, un son métallique, et jette un coup d’œil malicieux, les yeux brillent comme quand il était jeune.

On pourrait aller jouer au golf ? Un rit bref échappe Ou rester là. J’ai du travail, mais tu peux t’installer, on ira visiter le labyrinthe plus tard ou aller voir quelque chose de divertissant à Babel ce soir.


WINTER


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Désiré c’est celui qui sait se montrer réaliste, ca rassure Solal de l’entendre dire les choses avec autant de détermination. Solal se dit dans ces moments là que Désiré va bien. Ou du moins, il va mieux. Il va de l’avant, il sait ce qu’il veut.

Alors, il peut a son tour profiter de ce contact sans s’inquiéter de la suite. Parfois profiter simplement du moment présent, c’est le mieux a faire. Il l’embrasse, le suit du regard. Penche légèrement la tête. Le fixe alors qu’il fait sa commande.

« Jouer au golfe ? C’est vrai que ca fait longtemps. »

Et il repense Solal, a ces moments où chacun était aveugle aux sentiments de l’autre, jouer au golf c’était leur rendez-vous quotidien, maintenant il partage bien plus que ca.
Et en pensant a ca, Solal se remémore à quel point il a besoin de Désiré dans sa vie maintenant, jamais il ne pourrait penser retourner en arrière.

Les ruptures se sont enchainées et là maintenant, il est sûr, il touche enfin des doigts le véritable amour.

Alors, il se redresse.
Il se dirige vers Désiré, le sourire doux.
Le regard pétillant.
D’un geste doux, il vient caresser sa joue.

« Ca nous rappellera le bon vieux temps. »

Il l’embrasse sur le coin des lèvres.
Termine.
« Ne t’empêche pas de travailler pour moi, ta présence seul suffit a me combler Dez. »


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