haklyone
You do not have a soul. You are a soul, you have a body.
ca dessine ( privé =)



 
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ca dessine ( privé =)
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Mar 31 Mai - 14:11
Un week end de 4 jours, une occasion de revenir dans ta région natale: Regalia. Tu devais rendre visite a ton père, tu ne l'avais pas vu depuis un mois. Les cours, les devoirs te prenaient trop de temps et avec la fatigue, tu ne puvais pas te permettre de revenir dans la demeure familiale tous les week end. C'était impossible, tu ne pouvais tenir ce rythme. Tu avais donc décidé de partir le vendredi soir après les cours, tu avais pris la dernière navette. Tu étais arrivé pile poil a l'heure du repas, tu le pris avec ton père et un cousin qui passait par là. Tu t'étais couché tôt à cause de la fatigue accumulée dans la semaine. Tu te permis une grace matinée le samedi, l'après midi tu décida d'aller aider ton père dans les champs ou pour faire quelques réparations dans la maison, des choses impossibles à faire seul. Le dimanche par contre, tu avais décidé de te le garder pour toi, tu voulais te rendre en ville pour faire du dessin d'observation, un très bon exercice pour t'améliorer. Tu fis l'effort de partir en début d'après midi histoire de manger avec ton père. Là bas, tu connaissais les plus beaux quartiers, tu ne te fis pas prier pour t'y rendre de suite. Tu avais pris un carnet et une trousse dans un petit sac à dos, ainsi qu'une bouteille de soda et un paquet de chips si jamais tu aurais un petit creu sur place.. Ca t'éviterait de dépenser de l'argent, tu étais en mode économie pour t'acheter de nouveaux feutres à alcool voir une nouvelle tablette graphique. C’était dans tes projets, pour les cours surtout, il fallait bien que tu passes au niveau supérieur.

Arrivé dans le quartier du magnifique temple de la ville, tu fus étonné de n’y trouver peu de monde dans les rues. En général, c’était le coin le plus peuplé de la ville et ce à cause des touristes. C’était une bonne chose pour toi ce vide, tu allais pouvoir t’installer ou tu voulais, au calme pour dessiner. Tu fis le tour des rues, tu regarda autour de toi, tu cherchais le meilleur point de vu. Tu finis par grimper sur un petit muret en face du temple, tu te colla contre le mur avec les pieds dans le vide. Tu fis un petit sourire en attrapant tes affaires de dessin, t’étais content de commencer à gratter cette feuille blanche, à faire ton croquis. Même si tu avais des années d’expérience dans ce domaine, les bâtiments n’étaient pas du tout ton point fort. Tu avais beaucoup de mal a les reproduire sur feuille, tu ne comprenais peu cette histoire de point de fuite et de perpectif. A chaque fois, ça t’agaçait et à chaque fois tu finis par en faire qu’à ta tête, à faire les choses comme toi tu l’entendais.

“Vous..”

Une ombre vint se mettre entre toi et ton objet d’études or tu ne voulais pas trop bouger la tête pour perdre le point de vu. Tu tentes de te montrer patient or il ne se passa rien

“ S’il vous plait, ecartez vous un peu”
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Ven 3 Juin - 9:46
We paint the
Town
Slow down on Monday. Not a sound on Wednesday.
Might get loud on Friday. But on Saturday, Saturday, Saturday. We paint the town.


Il a sauté le hamac, la gueule en vrac, pour venir racler la marmelade, embrouiller le grille-pain en rade. Miss Météo chantait de mots ronds comme les crus Palatine, qu’on allait avoir du radieux d’un bout à l’autre de l’hémisphère, qu’il n’y aurait pas une ombre au tableau.

Faïr du soleil sur le front, de l’acrylique jusqu’au menton ;
marche les paupières closes, c’est pour savourer l’odeur des roses.

Le bagguy noir tombe lâchement sur les hanches, et lui, avec ses mirettes jaunes, il cherche où il pourra bien échouer un somme. Il guette les champs de coquelicots de l’autre côté des pavés dorés, renifle le parfum des fleurs qui rampent jusqu’aux balcons des bâtisses en belles pierres.

Ses lèvres sifflent des notes à la gloire d’Haklyone ;
que ce serait beau que du bonheur elle soit à l’aune.

Il a dans la caboche le souvenir des lèvres d’Augustin, la mélodie de la foi et la sensation diffuse d’être heureux. La joie jamais abrupte d’avoir le torse nu découpé par les rayons solaires et les moustaches qui pointent autour du nez pour goûter la brise tiède. Les mains enfoncées dans le froc, Faïr pose comme un roc, le sourire pour seul socle.

La voix écorche les oreilles, trouble toute la quiétude de ce gros village où tous les terriens sont de bons vivants, déjà affairés dans les champs ou amourachés sur le divan. Les prunelles tournent, s’agrandissent, il a le carton sur les genoux, la silhouette tassée sur le muret.

_Oui oui oui.  Faïr avance droit sur lui, de la curiosité puérile pour l’esquisse, il bute les orteils dans les fissures, hisse l’échine entre les rainures. Installé, il peut loucher son soul sur les contours, y appuie l’index pour suivre les lignes, intrigué. C’est comme de l’art ? Ca imite quoi comme rêve ? il faut mettre toutes les couleurs du monde pour que ça soit beau comme aujourd’hui.

Les sons clairs résonnent sur les parois du plexus, remontent le long de sa gorge dans un rire de batterie. Faïr ôte ses doigts sale du dessin, regarde l’inconnu avec amusement.




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Mer 8 Juin - 18:04


Si tu étais venu ici, si tu avais choisit de reproduire ce magnifique temple, c'était aussi pou progresser, pour t'améliorer en dessin, dans ton domaine de prélédiction. Tu devais être un minum concentré à la tache, tu aimais donc pas être déranger pour un oui ou pour un non. Ton père le savait très bien, il ne t'envoyait jamais de sms pendant les sorties. De toute façon, tu avais pris l'habitude de fermer ton portable, tu ne risquerais pas d'entendre cette affreuse sonnerie en plein travail. Tu étais tranquil de ce coté là, tu n avais pas à t'en plaindre, néanmoins il restait toujours ton environnement, ton entourage qui ne te faisait parfois aucun cadeau comme la ou tu fus déranger par un drôle de personnage. Un homme, assez jeune, qui chantait à tu tête dans la rue, qui montrait sans doute sa bonne humeur. Tu l aurais laissé faire, tu n'aurais rien dit s'il n'aurait pas eut cette étrange attitude en vers toi. Non seulement, il s'était mis entre toi et le grand temple mais en plus il se permit de venir s'asseoir a coté de toi. Il venait sans demander empiété sur ton espace vital, chose peu apprécié de ta part. T'aimais pas trop les contactes physiques avec les gens, encore moins des inconnus; ça te gênait, te mettait mal à l'aide. Tu tentais a chaque fois de t'écarter de la personne, de retrouver ton espace vital. T'étais vraiment pas à l aise si proche de ce jeune homme, tu ne savais quels étaient ces intentions, ce qui te faisait peur. Tu t'imaginais toujours le pire... Le pire qui finir par arrivé, ton interlocuteur mis son gros doigts sale sur ton dessin. Comment pouvait il se permettre une telle chose ? Ce n’était pas possible, ton dessin, il était foutu ! Tu le regardais avec une profonde déception, tu vies cette grosse tache de doigts dessus. Il avait réussi a te le salir, l’encre avait bavé, impossible de le récupéré. Tu l’avais mauvaise sur le coup, tu soupira en levant les yeux au ciel. T’étais a deux doigts de t’énerver contre lui, de le renvoyer sur les roses.  Ce comportement te semblait si absurde que t avais l’impression de devenir fou.Tu ferma les yeux, tu repris une grande inspiration pour te calmer.. Il ne fallait pas craquer, tu avais une certaine dignité, 
 tu valais mieux que ça. Il ne fallait pas te donner en spétacle dans toute la rue, il n’en valait pas la peine. En revanche, tu tenta de mettre un terme a se rapprochement un peu trop intime.

“ hé doucement, calme !” 

Tu referma vite ton carnet, tu  remis ton crayon dans ta trousse pour tout remettre dans ton sac avant de faire un petit saut du muret pour regagner la terre ferme. La, tu te retourna vers ton interlocuteur d’un air méfiant avec ta main bien fermé sur ton sac au niveau de l’ouverture. Tu avais un peu peur d’avoir a faire a une personne mal intentionné, qu’il te pique toutes tes affaires. 

 “ Que me voulez vous ? Je suis surpris d’une telle attitude” 

A l’inverse, surement, de lui, tu étais franc et tu n”aimais pas passer par les quatres chemins pur avoir quelque chose 
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Lun 20 Juin - 20:46
We paint the
Town
Slow down on Monday. Not a sound on Wednesday.
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Les yeux arrondis en billes, Faïr garde la tête penchée devant le spectacle des soupirs durs et de la mâchoire craquelée de frustration. C’est toutes les coutures de ses vêtements. C’est la chaleur suffocante. Il doit mourir sur l’étuve.

Faïr intrigué éclate en gazouillis.
Il a les doigts enfoncés dans la texture fine de son baggy pour garder l’équilibre. Son dos se voûte pour accueillir  la secousse des rires alors que ses mirettes plissent de malice. Le papier a bu un peu de la marmelade et transformé un trait en ombre.

Le rouquin n’inspire pas la peur mais une bonne louche de condescendance.
Il met son nez bien près du col bac de l'autre et inspire à plein poumon les relents désagréables de l’eau de toilette. Il dit vous, jappe et se froisse comme les fleurs qui manquent de soleil. Faïr balance les jambes, embêté. C’est bien ennuyeux d’être tombé sur un dessinateur qui n’a pas de rêve et qui parle comme le répondeur téléphonique des assurances.

Ses iris longent ses orbites et l’azur parfait d’où Haklyone doit le toiser, narquoise.

_Je voulais voir quel genre de rêve tu esquissais. Mais peut-être que tu n’en fais pas. Il tire une mèche de cheveux délavée sur son front, louche avec circonspection sur les poils roux. Il jette un regard aux alentours, laisse ses sourcils franchement plissé en accent sur son front. T’as bu de la gnôle pour me dire vous ? J’ai pas de cheveux blancs et je suis tout seul.

Le sourire s’étire paresseusement sous ses pommettes. Ca plisse en stries douces la cartilage. Il lance les bras en arrière pour s’appuyer sur le muret de rocaille, accueillir la lumière dorée partout sur son torse, les yeux clos de délice.

_Quel drôle de clampin tu fais.




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Mer 22 Juin - 19:00

C'était rare les fois ou tu allais aborder les gens, leur parler le premier. Tu étais trop réservé, timide et tu ne savais comment t'y faire. Il te fallait un minimum connaitre la personne pour te rapprocher d'elle. Sans doute à juste titre, tu ne donnais pas ta confiance si facilement sauf pour des cas spéciaux. Cette méfiance vint en partie de la mort de ta mère ou ton coeur s’était endurci mais aussi et principalement à cause de ton père. Il t’avait toujours mis en garde contre le monde extérieur, les danger, les arnaques. A ce propos, il était même parvenu a te convaincre de ne plus sortir le soir. La ville, certains quartiers n’étaient fréquentables, valait mieux rester bien au chaud à la maison. C’était un fait, tu t’étais même fait peur en lisant des faits d’hiver de la ville dans le journal local. Tu devais faire attention ou tu mettais les pieds et a ton entourage même si tu étais du genre a rester discret dans ton coin sans rien demander a personne, même en pleine journée. La preuve avec cette étrange rencontre un peu malsaine, un drôle de type qui était venu te déranger et te flinguer par la même occasion ton beau dessin. Tu l avais amère, entre les deux yeux celui la. Tu ne savais sa véritable raison de sa présence mais une chose était sure. Tu te sentirais bien mieux, soulagé une fois débarrassé de lui pour de bon.

“ c est quoi ces manières ?” 

tu te mis dans une soudaine colère en le repoussant une nouvelle fois, en plaçant tes deux mains devant toi pour ne plus te faire approcher de la sorte. Ton interlocuteur avait profité d’un moment d'inattention de ta part pour venir se  coller a ton col pour te.. Sentir ton odeur ? Tu l avais très mal pris, il avait franchit la limite, ton espace privé pour te critiquer. Tu allais lui remettre les pendules a l’heure à ce zozo, pas question de te laisser faire de la sorte, manipuler comme un vulgaire pantin. Et puis, s’il aurait l’audace de dire que tu puais, tu allais sans doute lui mettre une bonne droite pour lui mettre les idées en place. Tu avais fait l’effort ce matin de mettre l’un de tes meilleurs parfums, à la rose en plus; rien d’horrible à l odeur. Un dragueur, un lourd dragueur pensais tu en gardant les mains sur ton petit sac, tu ne voudrais pas le voir partir avec sur un coup de tête, par pur vengeance. Tu voulais partir or en y repensant ce n’était pas une bonne idée de lui tourner le dos, tu craignais un peu sa réaction, les choses pouvaient s’empirer. Tu te retrouva bloqué avec cette énergumène sur le dos, tu trouva ton humeur de chien dont tu te fis un plaisir de lui faire comprendre aussi bien physiquement que dans tes mots. Tu croisa les bras sur ton torse, plongea des yeux noirs dans les siens.

“ Cesses de me faire perdre mon temps et dis moi ce que  tu veux” 

T’avais la ferme intention de mettre un terme a cette mascarade et tant pis si tu allais devoir utiliser la manière forte.
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Mer 6 Juil - 18:47
We paint the
Town
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L’homme en gris a le visage rougeau d’irritation. L’artiste présumé met les mains à plat pour pousser et éructe avec fièvre. Les pinceaux ont dû lui colorer la tête et les humeurs mais sans la douceur des aquarelles.

Les sourcils du rouquin se haussent et les mains se cramponnent à la pierre. Le relief mord la peau et y imprime des crevasses différentes de celles laissées par les substances médicamenteuses de l'embaumement. Il accueille les chocs sans oublier de sourire. Le coin des lippes qui s’étire parce que des types tout gris qui font la manche pour vendre une carte postale tachée de vin ont certainement plus d’attraits que son attitude guindée.

Faïr a les mirettes qui soupirent de concert avec lui et sous le plexus s’agite l’envie de déguerpir. La même question et il ne sait pas quoi dire de plus.

Il aurait aimé apercevoir des esquisses sous la mine grasse d’un crayon de bois et faire risette en reconnaissant un soleil noir. C’est déjà passé cette envie qui grouillait. Il a le torse arqué pour accueillir le plus de soleil possible et les paupières qui tombent de paresse. Il marmonne avec le bout des lèvres. Les mains grattent l’arrière de son crâne pour faire passer l’ennui de se faire sermonner par un citadin étouffé de bienséance, dégoulinant de policé.

_Oui oui oui. T’es très fâché. Tu sais pas très bien pourquoi et c’est très bien comme ça ?

Les vermisseaux de villes ça ne doit pas comprendre les mots comme lui. Faïr craque les cervicales et détend toute l’échine pour s’allonger mollement sur le muret. Là-haut, c’est bleu comme les yeux de sa petite prêtresse et c’est à peine marbré par des nuages aussi duveteux que les coussins éventrés sur lesquels il passe ses nuits. Les bras croisés sous le crâne, il baille à s’en décrocher la mâchoire.

Plein de torpeur, le rouquin a la tête rongée d’assoupissement naissant.

_Et si je pique un somme ? Tu vas me casser la gueule en me demandant ce que je veux ?

Il gazouille en rire clair.

_Nan parce que c’est pas très pratique pour dormir. Et comme t’as l’air dur de la feuille, j’préfère savoir.

Les iris jaunes restent plantées dans le paradis céleste où quelques piafs noirs font la ronde. Il aime pas les voir Faïr, les charognards qui pullulent, annonciateurs de trépas. Qui dit trépas dit travaille, dit très peu pour lui.


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Ven 8 Juil - 9:19

La violence n'était la solution à ton problème, elle ne réssoud jamais rien et tu le savais. Jamais au grand jamais l'idée de frapper ce crétin ne t'étais venu à l'esprit, tu n'y songerais même pas. Tu étais pacifique, du moins physiquement. De toute manière, tu n'avais aucune carrure ni force pour te donner à un éventuel combat, tu n'avais jamais su te battre, c'était perdu d'avance. Tes armes à toi étaient les mots, venait de ta bonne répartie. Ton père t'avais appris à te défendre par la parole, les mots peuvent être plus marquants qu'une paire de baffes. Tu te débrouillais assez bien dans l'ensemble, même si tu pouvais aussi remercier ta patience légendaire. Elle te permettait de garder ton calme, ton sang froid même dans les moments les plus dramatiques ou critiques. T'étais en colère contre cet idiot, il avait fichu en l air ton dessin et pourtant ton état d'esprit n'avait pas changé d'un pouce. Le rigolo du jour continua à te narguer, à se rire de toi. Tu le regarda faire avec un air hautain, blasé. Il s'amusait, tu étais devenu son jouet, son passe temps ? Ca en avait tout l'air, il te fit tourner en bourrique. Tu ne le quitta pas de tes yeux sombres, tu tenta d'analyser ses moindres gestes. Tu compris vite le but de son jeu: Il était dans la provocation, cherchait sans doute à te faire peter un cable. Tu t'en fichais, tu alla même à éprouver une certaine pitié à son égard. Il devait vraiment s'emmerder pour venir t'ennuyer celui la et il n y avait peu de chance pour qu'il réussit. Hors de question, tu n allais pas lui donner ce petit plaisir malsain, tu avais une bien meilleure idée.

Ton corps se détendit, tes yeux devirent plus chaleureux voir amicale et dans ton aura on pouvait y sentir une sorte d’amusement. Il voulait jouer ? Il allait être servi, tu avais bel et bien l’intention de rentrer dans son petit jeu en faisant bien sur attention à ne pas te faire avoir. Tu leva les mains en l’air d’une façon théatrale, tu te rapprocha de lui dans des allures nonchalantes. Ton interlocuteur c etait allonge tout le long de son corps sur le muret, les mains derrière la tete, t obligeant a monter sur une pierre plate pour arriver a sa hauteur. Tu avais un drole de petit sourire sur tes levres, tes intentions paraissaient douteuses en cet instant pourtant tu savais ce que tu etais entrain de faire et ton petit plan bien dans la tête. L une de tes mains se leva, fini par se poser sur le torse de ton interlocuteur ou tes doigts lui tapotaient le torse. Tu ne sentis aucune gene a faire cela, t en etais meme tres amuse au point de lacher un petit rire cristalin

" c est comme ca que tu dragues ? Laisses moi te montrer mon mignon "

C etait quand meme risqué de ta part, il pouvait mal le prendre, avoir une mauvaise réaction mais tu prenais les paries et ce n était pas toi qui avait lancé les hostilités. C etait bonne guerre cette histoire
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